1. Tentations 01: Quelques jours d'égarement


    Datte: 29/05/2018, Catégories: fhh, fsoumise, légumes, zoo, Auteur: Histochris, Source: Revebebe

    ... descendit la fermeture éclair de sa cote de travail, sous laquelle il était nu. Il avait un corps trapu, musclé et poilu. Il était taillé grossièrement dans un bloc. Il exhiba une belle bite qui surgit d’un épais buisson de poils. Il se débarrassa de son vêtement et s’assit de l’autre côté de ma femme. Il posa sa grosse main calleuse sur le ventre creusé par la cambrure de ce corps en délire.
    
    J’avais posé les concombres entre les cuisses de ma femme et lui caressais doucement l’intérieur de la cuisse. Il en saisit un et posa le bout juste à l’entrée de ce ventre béant. Le corps de ma femme fut agité par un nouveau spasme. Elle tentait de se frotter sur la pointe.
    
    — Mets-le moi, vite !
    
    Le fermier eut un sourire. Il approcha encore le légume qui se colla entre les lèvres gluantes.
    
    — Je t’en prie, lui dit-elle, ne me laisse pas comme ça, mets-le moi.
    
    Encore deux centimètres. Il tenait toujours le phallus végétal et poursuivit la progression. Ma femme accueillait sans difficulté cette bite verte.
    
    — Encore ! Tout au fond, baise-moi tout au fond.
    
    J’étais fasciné et excité par cette vision. Elle s’agitait autour de ce pieu. Ses beaux seins pointaient. Le fermier posa la main sur ce beau globe de chair bronzé. Ses deux doigts saisirent le téton et le pressèrent. Un râle envahit la chambre. Le concombre était à moitié planté en elle, distendant ses lèvres intimes. Tout doucement, il commença un lent va-et-vient sans cesser de maltraiter le sein. Il tira sur le ...
    ... téton. Ma femme se mordait les lèvres.
    
    Le concombre quitta la chatte qui resta ouverte. J’adore la vue de son sexe après l’amour mais là, c’était fantastique ! Le fermier porta le concombre à sa bouche et lécha le jus qui l’enduisait.
    
    — Tu le veux derrière aussi ? demandai-je à mon épouse.
    
    Il m’arrive souvent de la sodomiser et elle aime ça mais le diamètre était bien supérieur à celui de mon membre.
    
    — Bien sûr, qu’elle le veut, me dit le fermier, tu vois comme elle est chaude, je vais l’enculer et elle va aimer ça.
    
    Je défis les liens des chevilles et nous prîmes chacun un pied pour la forcer à nous présenter sa croupe en plaquant ses cuisses sur ses flancs. Le fermier lubrifia le légume dans la chatte et ensuite posa l’extrémité contre la pastille lisse.
    
    Il poussa et le bout rond disparut entre les fesses.
    
    — Allez-y, allez-y, ne cessait de répéter ma tendre moitié.
    — C’est le cheval qui t’a excité ? lui demanda t-il.
    
    Elle répondit juste par un soupir.
    
    Son œillet se dilatait lentement. Le fermier se pencha et goba le téton. Je fis de même avec l’autre. J’entendais la respiration haletante de notre victime consentante.
    
    — C’est bon, c’est bon, ne cessait-elle de répéter.
    
    Elle poussa un petit cri.
    
    Je me redressai. Jamais je n’avais vu son œillet si ouvert, jamais je n’avais pensé qu’elle puisse accepter une telle sodomie.
    
    — Tu veux les deux en même temps ? dit le fermier en approchant son visage de celui de ma femme suppliante et déchaînée ...
«1...3456»