1. La gérante de la galerie d'art (11)


    Datte: 28/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    ... glissent le long de ses flancs, suivant en descendant la courbe de ses reins, puis, comme pour en éprouver la douce courbe, la ligne de l’extérieur de ses cuisses.
    
    Mes doigts descendent jusqu’à ses genoux, tâtent un peu le cuir des bottes… « La salope bottée » prononcé-je dans un souffle, avec un air légèrement de mépris, mais sans dédain.
    
    « Voyons maintenant la chatte bottée… » Mes mains crissent sur le nylon des bas en remontant, puis attrapent délicatement le bas de sa jupe en cuir et commencent à la remonter lentement…
    
    « Quitte à te donner l’allure d’une salope, autant le faire correctement… En retroussant cette jupe sur tes reins… Que tu aies l’air de la gourgandine, de la bonniche qu’on culbute à l’arrière de la voiture… Qui voulait passer pour plus qu’elle n’est, mais finit quand même défoncée par le mâle en rut. »
    
    Avec difficultés, je retrousse la jupe serrée qui remonte en crissant, et la voilà bientôt enserrant sa taille, comme une ceinture lombaire.
    
    J’ai évidemment une vue sur ce superbe cul, à peine couvert sur les côtés par un brésilien très échancré, chic et sexy. C’est bien, elle connaît mes goûts à présents, elle sait que je n’aime pas beaucoup les strings : je préfère dévoiler moi-même ce que je veux et quand je veux.
    
    D’ailleurs, saisissant le haut du slip, je le tire très brutalement vers le haut, lui enfonçant dans la raie du cul. Le tissu doit meurtrir son anus, lui écarter la chatte et elle pousse un cri de surprise !
    
    Elle est ...
    ... sûre d’avoir entendu une autre voix, une voix d’homme également, mais différente, et à moins de deux mètres d’ici, émettre un : « HUMMM… » satisfait.
    
    Mais ma main droite ne reste pas inactive, et tandis que la main gauche lui fait un string improvisé et pénible, car mordant sa chair, lestement, je me mets à lui claquer le cul à la volée, une dizaine de fois. Ces beaux hémisphères bien épanouis, toujours aussi bandants, faits pour être fustigés, pincés, mordus, baisés, ne peuvent pas rester ainsi impunis :
    
    ils n’ont que ce qu’ils méritent, coupables de provoquer l’excitation incontrôlable des hommes et leur désir lubrique, voire leur frénésie sexuelle.
    
    Elle crie, toujours aussi douillette (pourtant ces claques sont plus sèches que sévères) mais elle joue son rôle : elle sait que j’aime l’entendre gueuler comme une écolière humiliée de se faire dénuder et rougir les fesses devant toute la classe, alors elle se donne en spectacle, elle surjoue la femelle soumise qui se prend ce qu’elle a bien cherché et fait la fine bouche, à présent qu’elle est en train d’y passer.
    
    D’autant qu’elle a compris, il n’y a plus de doute, qu’elle a un spectateur anonyme… et un mâle aussi.
    
    « Prends ça, petite catin, grosse pute bourgeoise ! C’est tout ce que ton gros cul mérite, une bonne fessée bien claquante, ça et la sodomie punitive ! Il est fait pour ça. »
    
    Je cesse rapidement, la laissant bien savourer la chaleur qui irradie maintenant de la fine peau de ses hémisphères, et les ...