1. La gérante de la galerie d'art (11)


    Datte: 28/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    ... ses hanches, en haut de la jupe en cuir, comme si je voulais prendre la mesure de cette amphore bien bandante, j’appuie légèrement.
    
    Puis je m’approche imperceptiblement de son dos jusqu’à ce quelle sente mon souffle léger dans son cou. Mes mains montent en effleurant son ventre tendu, puis se plaquent sur ses seins, mes doigts se refermant comme des serres sur ses splendides et superbes globes de chair. Je les presse rythmiquement tout en lui susurrant juste sous son oreille gauche :
    
    « - Vous allez être baisée comme jamais, ce soir, Madame, je vous en fais le serment. Et bien plus et bien plus fort que vous ne l’avez jamais été, bien plus que vous ne l’avez jamais imaginé. Et pour ceci, je vous ai réservé une petite surprise.
    
    Mais pour qu’une surprise soit une surprise, tout d’abord, il faut que vous ayez à nouveau les yeux bandés » dis-je en me ressaisissant du foulard et en le passant sur ses yeux et le nouant derrière sa tête.
    
    « Mais ce soir, le cadeau c’est vous… »
    
    ° ° °
    
    Je rentre dans l’appartement maison en essayant de garder mes grands airs. Je marche bien droite, bien assurée de ma séduction.
    
    Je n’en menais pas large dehors, ainsi vêtue. Un ou des inconnus auraient pu prendre cette jupe en cuir, ces bottes, ce décolleté pour une invite.
    
    Bref. Je me comporte encore dans ce lieu comme la femme du monde que je suis, hautaine, sexy et prétentieuse. Classe et un peu coincée, mais qui a besoin d’être brisée, d’être remise à sa ...
    ... place.
    
    Rapidement ses caresses sur mes fesses, mes hanches, deviennent plus rudes. En un clin d’œil je me retrouve menottée. Je m’imagine, vue par un homme extérieur à cette scène, perchée sur mes talons hauts, ma jupe en cuir reflétant les lumières.
    
    Il me pelote les seins et ses mains montent sous ma jupe. Je gémis mais j’essaie de rester droite et classe. Je ne veux pas jouer la femme facile. Si seulement je savais que derrière le miroir se trouve un inconnu qui le paie pour admirer la scène…
    
    Je sens ses mains monter sous ma jupe et caresser la lisière de mes bas.
    
    Ses mots un peu crus me font trembler à nouveau. Que me réserve-t-il ?
    
    ° ° °
    
    Soudain, je me fais un peu brutal : attrapant les deux pans du chemisier entrouvert je les tire d’un coup sec de chaque côté. Les boutons s’arrachent et la voilà dépenaillée.
    
    « - Voilà. Maintenant je vais te sortir toute ta nichonaille… Tu vas voir, tu vas avoir moins l’air d’une bourgeoise » Et ce faisant, je lui sors sans douceur ses gros seins de leur logement, les faisant passer par-dessus les bonnets.
    
    « Là. On dirait vraiment la pute du boulevard, maintenant. Et même : de la plus vulgaire espèce. On dirait les grosses salopes qui allument les marins sur les quais d’Amsterdam ! »
    
    Ses mamelons bruns sont déjà tout fripés, tellement ils sont turgescents. Je les effleure de la pulpe de l’index, histoire de la faire frissonner, ce qui ne manque pas. Elle se mord les lèvres.
    
    Je délaisse ses seins, et mes mains, sensuellement, ...