1. La gérante de la galerie d'art (11)


    Datte: 28/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    Apres ces dix jours je viens au rendez-vous, un peu hésitante.
    
    Pourquoi suis-je hésitante. J’aime être ainsi traitée. J’aime être dominée par un mâle sans retenue qui sait ce qu’il veut. Un mâle qui me désire tant et qui sait me combler de façon si experte.
    
    Certes la douleur qu’il aime m’infliger est un peu trop. La douleur exquise que sa bite massive m’inflige est toujours la bienvenue.
    
    Je ne sais pas quelle surprise il me réserve cette fois-ci. L’anticipation est souvent meilleure que la surprise elle-même
    
    Je viens vêtue plutôt bcbg comme d’habitude car je sais qu’il aime me prendre et me souiller lorsque je suis vêtue ainsi. Baiser une pute est trop facile.
    
    Mais cette tenue pousse les limites du bcbg. La jupe en cuir est un clin d’œil à nos rapports un peu extrêmes. Le décolleté est un appel au mâle en rut.
    
    ° ° °
    
    Le soir du rendez-vous, une demi-heure avant l’heure convenue je lui envoie un sms très sec :
    
    « Il y a aura des instructions pour toi sur la porte d’entrée. Tu les suis et tu sonnes ensuite. Je te conseille d’être ponctuelle. »
    
    La veille déjà je lui avais envoyé :
    
    « Choisis une tenue très sexy pour demain, très b.c.b.g., très femme du monde. Ne me déçois pas, petite allumeuse. »
    
    On sonne. Je ne me précipite pas pour ouvrir. J’attends une bonne minute. J’ouvre tranquillement la porte. Elle est devant moi, debout, presque frissonnante. Il faut dire qu’elle a trouvé le petit mot dans l’enveloppe qui lui était destinée sur la porte ...
    ... ainsi que le foulard noir. Elle l’a passé autour de ses yeux.
    
    Elle a dû avoir la trouille que des voisins de palier qui rentrent chez eux la voient ainsi.
    
    Je la sens toute tremblante de crainte, et sans doute humiliée.
    
    Le parfait attendrisseur. Elle doit être à point.
    
    Je lui prends sa main fine sans la serrer et la tire dans l’appartement, la fais avancer de quelques mètres. Mes mains doucement posées sur ses épaules l’immobilisent et la font pivoter. Elle sent que je la place où je veux. Je lui intime d’écarter un peu les jambes. Docilement elle s’exécute.
    
    Puis je prends son fin poignet droit et lui lève. Elle sent qu’un bracelet se referme sur lui. Je fais de même avec l’autre. La voilà debout les bras en l’air, attachée.
    
    Elle entend que je m’éloigne de quelques pas, puis que j’actionne un mécanisme et ses bras montent, se tendent au maximum. Elle pousse un petit cri étouffé.
    
    Je retire son bandeau et me voici devant elle :
    
    « - Alors ma belle ? On est venue toute tremblante, mais excitée au rendez-vous, n’est-ce pas ?
    
    En tout cas, je dois reconnaître que vous m’avez gâtée, ma chère : cette tenue va à vous ravir et est parfaite. J’adore les salopes en jupe en cuir, j’adore les bourgeoises allumeuses, celles qui mettent le feu dans la tête des jeunes gens car elles se savent hautaines et inaccessibles. Le genre de femmes de pouvoir ou d’argent, de femmes mûres qui s’amusent à faire bander les jeunes mecs qui savent qu’ils ne pourront jamais les toucher… ...
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