1. La gérante de la galerie d'art (11)


    Datte: 28/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    ... Ce genre de femmes qui se marrent intérieurement dans le métro, cachées derrière leurs lunettes de soleil, en voyant les yeux de merlan frit des jeunots qui bandent comme des ânes, serrés dans leurs jeans. Ces femmes qui savent que le soir ces petits mecs, dès qu’ils seront seuls dans leur lit se branleront comme des malades en repensant à la belle brune aperçue le matin, jambes bottées et croisées, que jamais ils ne pourront baiser !
    
    Mais moi, ma chérie, je n’ai plus cet âge, je ne suis plus étudiant, et j’ai acquis ce doit longtemps interdit de toucher ces déesses de chair. D’ailleurs, je ne vais pas me gêner…
    
    Et pour commencer, vérifions cette hypothèse, celle que j’ai exprimée dès le début : je suis certain que vous êtes déjà aussi mouillée qu’une adolescente d’un pensionnat à l’idée de l’imminent concours de masturbation avec ses voisines de chambre. »
    
    Et là-dessus, la regardant bien droit dans les yeux, je passe ma main sous sa jupe et la monte directement entre ses cuisses. Je trouve la peau nue au-dessus des jarretelles, écarte le fin tissu d’un slip en dentelle (j’ignore à ce stade si c’est un tanga, un string ou un shorty), et mes deux doigts les plus longs s’insinuent doucement entre ses fines lèvres :
    
    J’affiche un sourire satisfait et diabolique en sentant le satin ourlé de son bijou féminin tout humide de rosée : elle mouille comme une chienne !
    
    Je ne fais aucun commentaire désobligeant sur le moment en enlevant mes doigts, mais tout en la fixant ...
    ... toujours dans les yeux je les fais passer lentement sous mes narines, les hume comme un connaisseur, comme un nez en parfumerie, un œnologue expérimenté, un amateur de havane, ferme à peine les paupières pour mieux m’imprégner de cet effluve puis annonce mon verdict :
    
    « - Ou je ne suis plus un spécialiste ou c’est le parfum bien reconnaissable de la femelle en chaleur ! »
    
    Elle s’attend à ce que je porte mes doigts à ma bouche comme un amateur de grand vin qui après avoir reniflé son verre, prend une gorgée pour la rétro-olfaction avant d’avaler religieusement… mais mes doigts entrent dans sa bouche, se frayant un chemin sans brutalité entre ses jolies lèvres peintes de rouge sombre :
    
    « - Goûtez, Madame la femme d’affaire. N’est-ce pas que le parfum de votre rosée physiologique vous trahit, ou plutôt… vous trahirait si vous osiez vous défendre d’être cette belle salope mûre et mariée qui vient toute frétillante et de son plein gré pour être dominée sexuellement et totalement ? »
    
    « D’ailleurs » ajouté-je après une à deux secondes pour laisser le temps à ma phrase de faire son effet, « un décolleté pareil, une pareille fenêtre mettant quasiment à l’air ces indécents roploplos est un aveu supplémentaire. Cette tenue montre par où vous brûlez d’envie de vous faire baiser… Je veux dire en plus de vos trois orifices, dont, je vous le promets, qu’aucun ne sera ce soir ni négligé, ni épargné ! »
    
    Je passe lentement derrière elle et mes doigts se posent délicatement sur ...
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