1. Toilettage


    Datte: 28/05/2018, Catégories: ff, douche, fsoumise, noculotte, fgode, fdanus, sm, journal, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... beaucoup transpiré par-devant aussi, vous le savez bien ! rappelai-je, confiante et assez fière.
    — Nous allons ajouter du savon ! plaisanta Mély en reprenant l’éponge.
    — J’ai peur que l’éponge ne soit pas suffisante, observai-je.
    — Avec le gant de crin ? Mais je vais vous faire mal, Colette.
    — Tant pis ! On nous a demandé que je sois parfaitement propre…
    — C’est vrai, concéda-t-elle. Arrêtez-moi quand ce sera trop douloureux.
    
    Elle prit le gant et arrosa de gel douche ma chatte que je tenais à nouveau ouverte. Elle changea cependant de position pour entamer son nettoyage.
    
    Placée dans mon dos, elle entourait mes reins de son bras gauche et, par-devant, sa main droite frottait vigoureusement mon entaille avec le crin. À peine remises de leurs précédentes meurtrissures, mes chairs se révoltaient contre l’agression que j’avais réclamée. Mes nymphes, d’abord, rudement contraintes par les allers et retours abrasifs, commençaient à me brûler. Mon clitoris, que le plaisir du « rinçage » avait durci, subissait directement ces contacts rugueux qui le couvraient et le découvraient à chaque passage. Malgré le savon, des éclairs de douleur me traversaient le ventre à en pleurer.
    
    Je m’abandonnais à son soutien, dents serrées ...
    ... et corps tremblant. Son regard inquiet m’interrogeait régulièrement, mais je me refusais à demander grâce. Quand je n’eus plus la force de tenir moi-même ma chatte ouverte, elle m’adossa à un coin du carrelage et me fit poser un pied sur le rebord du bac. Ce fut elle alors qui étira alternativement mes lèvres, grandes et petites, pour récurer l’intérieur des plis et de la fente. C’était comme si une râpe caressait mes muqueuses ; je commençais à râler…
    
    — Ne me dites surtout pas que vous jouissez, Colette ; je serais punie, m’implora-t-elle.
    — Non, continue… parvins-je à articuler.
    
    Je refrénais mes spasmes par égard pour elle ; par affection, peut-être. Je voulais aussi savoir jusqu’où je pouvais aller volontairement dans la souffrance. Je le sus quand elle roula le gant en gode et entreprit de me ramoner le vagin. La fulgurance du crin sur les parois déjà exacerbées par l’excitation me coupa le souffle. Le rouleau rugueux me remplissait totalement et ses raclements sur la base profonde du clitoris me vrillaient de l’intérieur. Je ne pus empêcher mes muscles de se contracter sur le cylindre de crin, déclenchant une douleur insupportable qui me fit crier :
    
    — Arrête ! Arrête, je t’en prie, je vais jouir !
    
    (À suivre) 
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