1. Toilettage


    Datte: 28/05/2018, Catégories: ff, douche, fsoumise, noculotte, fgode, fdanus, sm, journal, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... abondamment de gel douche avant de la passer dans l’entaille que je lui ouvrais. La douceur de la caresse était exquise ; elle maniait son accessoire avec une délicatesse délicieuse. Bientôt une mousse abondante m’empêcha presque de voir sa main qui se promenait jusque dans ma raie. J’abandonnai mon pubis pour mon cul et lui permettre un lessivage plus complet en tirant à deux mains sur mes fesses. Je savourais les frottements moelleux qui allaient et venaient sur mon petit trou lorsque je sentis un contact tout aussi léger, mais plus ferme. Mon regard croisa le sien.
    
    — Je peux ? s’enquit-elle à mi-voix. C’est pour que le savon pénètre mieux.
    — Bien sûr, acquiesçai-je ; vous êtes très consciencieuse, Mély…
    
    Son doigt s’enfonça lentement dans mon anus, s’agita un peu, ressortit, reprit du savon, retourna dans le fourreau, s’en dégagea encore et revint en entraînant une pointe de l’éponge. Je me détendis au maximum pour faciliter cette double intrusion, les yeux fermés de bonheur. Les va-et-vient se firent plus profonds et plus lents pour se réduire finalement à des mouvements circulaires sur les bords internes de l’œillet avant de se retirer.
    
    — Je crois que ce sera suffisant, murmura Mély. Il faudrait rincer, maintenant.
    — C’était parfait, lui confirmai-je en rouvrant les yeux. Comment voulez-vous que je me place pour que vous puissiez rincer convenablement ?
    — Tournez-vous et penchez-vous en avant, s’il vous plaît, Colette, en gardant vos fesses écartées. Est-ce ...
    ... que vous supporterez que j’utilise le jet central ?
    — Faites-le, si vous estimez que c’est nécessaire… Je suis prête.
    — Ne bougez plus, m’intima-t-elle doucement.
    
    L’eau gicla sur le haut de ma raie et descendit progressivement vers sa cible. Je sentais la peau fine s’incurver sous la pression, me procurant des frissons involontaires qui me faisaient palpiter plus fort à l’approche de ma rosette. Le jet la frappa enfin en plein milieu, repoussant les replis fragiles de l’étoile et frayant d’autant plus facilement son chemin que le doigt de Mély distendait le bord de l’anus.
    
    — C’est pour éviter que ça fasse lavement, s’excusa-t-elle. Je ne vous fais pas trop mal ?
    
    Je lui avouai que oui, un peu, mais que la sensation était suffisamment agréable pour oublier ce petit détail. L’impression que je percevais était en effet bien différente d’un lavement. L’eau qui entrait dans le conduit en ressortait aussitôt en cascade sur le périnée, titillant au passage les muqueuses, durement à l’aller, subtilement au retour. Je ne sais pas qui avait eu cette idée, mais le résultat était merveilleusement efficace. Si seulement Mély avait continué quelques instants de plus à « rincer » mon petit trou ! Mais elle reposa la douchette et je dus me relever avec un grand sentiment de frustration.
    
    — Vous êtes sûre qu’il n’y a plus de savon ? émis-je d’une voix déçue.
    — L’eau était parfaitement claire, Colette. Si vous vouliez vous remettre face à moi, maintenant…
    — Ah oui, c’est que j’ai ...
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