1. Toilettage


    Datte: 28/05/2018, Catégories: ff, douche, fsoumise, noculotte, fgode, fdanus, sm, journal, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... dominer cette fille. Non que je n’eusse déjà apprécié ce genre de jeu dans l’égalité des relations, mais ici j’avais un objet librement à ma merci. Comme elle me l’avait dit, je pouvais m’amuser avec elle à ma guise. Je découvrais que dans ce cas l’excitation sexuelle physique était secondaire : la satisfaction intellectuelle primait, et avec elle la curiosité de connaître les limites admises par l’autre comme le désir de les repousser. Je tordis les pointes qu’elle m’abandonnait…
    
    Elle n’en poursuivait pas moins le savonnage de ma personne, ne trahissant sa douleur – ou son plaisir – que par de petits soupirs. Quand elle atteignit mes fesses, je lâchai mes proies et me tournai pour lui offrir plus commodément mon cul. Je fus un peu déçue qu’elle le dédaignât pour s’emparer du gant de crin et frotter vigoureusement mon dos. Du coup, je me remis face à elle en croisant les mains sur ma nuque.
    
    — C’est surtout des aisselles que j’ai transpiré, et sous les seins aussi… lui déclarai-je dans un sourire.
    
    Elle opina sans mot dire, un éclair d’amusement dans les yeux, et astiqua soigneusement mes dessous-de-bras jusqu’à ce que la peau s’échauffe. Puis elle souleva chaque sein d’une main douce tandis que l’autre étrillait activement sa partie inférieure pour la débarrasser d’une hypothétique sueur déjà disparue sous l’eau chaude. Très vite, la sensation devint douloureuse, mais en même temps une onde bien connue me parcourait le bas du ventre. Je la laissai se répandre ...
    ... dans mon vagin avant de signifier d’un battement de paupières à Mély que le but était atteint.
    
    Elle eut un petit sourire puis s’accroupit devant moi pour s’occuper de mes jambes qu’elle frictionna, des pieds aux cuisses, pour en éclipser toute trace de mes divers fluides. Ce faisant, elle m’obligeait à lever un genou après l’autre dans une gymnastique périlleuse. Bien qu’elle fût attentive à me servir d’appui pour conserver un équilibre précaire, elle s’abstenait de regarder ma fourche pourtant ouverte à hauteur de ses yeux. Ce souci de discrétion me fit sourire à mon tour.
    
    — Ça ne me gêne pas que vous regardiez mon intimité, Mély. Vous êtes certainement la seule à ne pas l’avoir scrutée de près aujourd’hui !
    — J’étais occupée avec votre robe, rappela-t-elle en levant la tête.
    — C’est vrai. Mais ce n’est plus le cas, et il vous faudra laver là aussi… à moins que vous ne trouviez mes formes trop disgracieuses ? ajoutai-je en jouant l’inquiétude.
    — Oh, qu’allez-vous penser là ! Non, Colette, je trouve au contraire que votre vulve est très épanouie.
    — Une grosse chatte, quoi ! la taquinai-je.
    — Oui ! Une belle grosse chatte, rétorqua-t-elle en riant franchement. Mais moi, je la trouve très jolie.
    — Vous êtes une perle de gentillesse, Mély, merci. Alors, n’hésitez plus, je la mets à votre entière disposition, ma grosse chatte… pour la toilette, bien sûr, conclus-je en écartant mes lèvres devant son nez.
    
    Elle troqua aussitôt le crin pour l’éponge qu’elle imprégna ...
«1...3456»