1. Toilettage


    Datte: 28/05/2018, Catégories: ff, douche, fsoumise, noculotte, fgode, fdanus, sm, journal, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... difficile de vous laver sans mouiller mes vêtements, sinon !
    
    Et sans plus de manières elle entreprit de doser la chaleur et le débit d’une douchette en promenant le jet sur sa poitrine et ses cuisses. Elle m’offrait un corps superbe et gracieux que, je l’avoue, j’aurais aimé avoir à son âge. Des seins moyens, en poire, montraient leur téton bien pointé sur une aréole rose. Un ventre plat sous la taille haut placée affichait deux fossettes courant le long des hanches vers le renflement d’une vulve discrète, à peine ombrée de brun. Et des jambes… des jambes fuselées que la finesse des attaches faisait paraître si longues…
    
    — Mély, vous êtes magnifique ! m’exclamai-je, subjuguée.
    — Merci, Colette, je suis heureuse de vous plaire ; mais venez sous la douche, s’il vous plaît. Nous allons commencer par les cheveux. J’espère que la température de l’eau vous convient ?
    — C’est parfait, Mély. Je vais donc m’abandonner à vous, ajoutai-je d’une voix plus basse.
    — Pour votre toilette, en effet, sourit-elle.
    — Oh, c’est tout ? me surpris-je à insister.
    — Oui, répondit-elle d’un ton devenu sérieux, je n’ai pas le droit de caresser une cliente sans que ma patronne ne me l’ait commandé. Encore moins s’il s’agit d’une… amie de Me L*. Mais vous, vous pouvez vous amuser avec moi, si vous le souhaitez.
    
    Elle n’avait pas cessé de shampouiner mes cheveux durant notre échange ; ses mains étaient un délice de massage. Elle m’avait renversé la tête en arrière et s’appliquait à protéger ...
    ... mes yeux en promenant la douchette pour le rinçage. À sa dernière phrase, je mis ma main sur sa hanche pour la remercier d’une légère pression.
    
    — J’aimerais beaucoup aller à la rencontre de votre corps, Mély, mais je ne le ferai que si vous aussi le souhaitez.
    — Ce n’est pas mon souhait qui compte, Colette, mais le vôtre.
    — Même si vous détestiez mon souhait ? murmurai-je en la fixant dans les yeux.
    — Ce n’est pas le cas… rougit-elle.
    
    J’avais appris deux choses. D’abord, que mes charmes, bien qu’appauvris, pouvaient être agréables à une jeune et belle femme. Ensuite, qu’une soumise de Me L* avait le pas sur une vendeuse, si elle se trouvait en position de cliente. Après ma longue – et initiatique – séance d’humiliations, savoir cela m’apportait un réconfort bienvenu. Je la pris dans mes bras pour l’embrasser tendrement.
    
    Elle ne se déroba pas à ma langue, mais s’abstint de pousser la sienne dans ma bouche. Elle acceptait que j’en tète le bout pour la goûter et se prêtait à mon baiser sans déplaisir, tout en continuant à m’enduire les épaules et le dos de savon. Puis ses mains vinrent prendre mes seins et je dus m’écarter d’elle pour lui faciliter la tâche. J’en profitai pour caresser sa poitrine dont la fermeté m’enchanta. En sentant ses tétons sous mes doigts, j’eus l’impulsion soudaine de les pincer. Elle gémit doucement. Je serrai plus fort, comme ma Maîtresse l’avait fait avec moi, et elle se cambra en fermant à demi les yeux.
    
    J’éprouvais un plaisir nouveau à ...
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