La piscine
Datte: 27/05/2018,
Catégories:
fhhh,
extracon,
inconnu,
grosseins,
fépilée,
jardin,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Partouze / Groupe
totalsexe,
bourge,
Auteur: Capitaine must, Source: Revebebe
... et avant même de frapper j’entendis des cris qui me figèrent sur place. Des cris de voix familières. Mon mari et sa putain d’associée. Je faillis tomber à la renverse. J’étais là comme la dernière des cruches, voulant lui avouer ma tromperie, et monsieur se tapait sa salope depuis Dieu sait combien de temps. Et apparemment ce n’était pas la première fois, au jugé des mots crus qu’ils pouvaient utiliser. Je fus choquée, médusée, puis énervée, et enfin en rage. Je me mortifiais pour un accès de folie et MONSIEUR avait le toupet de faire ça à tour de bras. Je ne sais pas ce qui me prit mais je voulus lui faire payer, et cela à son insu. Il me faisait des cachotteries, eh bien j’allais lui en faire.
Sur le retour je rentrai discrètement chez moi, fis un tout droit jusqu’à la chambre, et me changeai tout de suite. Je me retrouvai rapidement nue et inspectai ma garde robe avec une idée précise, exciter mes ouvriers et me faire baiser jusqu’au bout, comme une salope, comme la salope que j’étais devenue.
Dix minutes plus tard, me voilà dans le jardin pour une inspection des travaux, vêtue d’une blouse blanche retenue par deux fines bretelles, qui avait du mal à contenir ma poitrine du fait de sa trop petite taille - retrouvée dans mes affaires de jeune fille - et une mini-jupe noire fendue sur le côté. J’avançai d’un pas décidé, bien que je passais mon temps à remettre mes seins en place à chaque enjambée tellement ils débordaient, pour me retrouver à côté de mes victimes, ...
... ou plutôt moi je voulais être leur victime.
À peine arrivée, je déchantai vite en me rendant compte qu’en lieu et place du manœuvre de Francesco, il y avait deux nouveaux visages. Un jeune Polonais et un plus âgé qui avaient des têtes bourrues et un regard qui me glaça le sang, tellement ils me regardaient comme un morceau de viande.
— Alors, où en est-on ? leur lançai-je de la façon la plus directe que je pus.
— Tout va bien, me répondit Francesco sans savoir où me regarder.
Leurs yeux allaient de la pointe de mes seins prêts à jaillir du décolleté qui compressait ma trop volumineuse poitrine à mes cuisses ainsi dévoilées. Mon excitation était à son comble de me voir ainsi désirée et convoitée. Des gouttes de sueur perlaient à leur front et aucun ne rajouta un mot. Je repris les devants, ainsi réconfortée dans mon sentiment de supériorité.
— Êtes-vous sûrs du niveau des pavés du trottoir de la piscine ? Il me semble qu’il y en a qui sont mal posés.
— Et lesquels ? me lança un Francesco plus qu’énervé par l’emmerdeuse de cliente que j’étais, malgré mon sex-appeal.
Et sans attendre je m’accroupis pour pointer les faux pavés, les jambes très écartées, dévoilant ma chatte totalement épilée et ne faisant aucun geste pour contenir mes seins, du fait de mon geste brusque. La main de l’Italien empoigna un de mes seins en le sortant complètement de son trop petit écrin.
— Ce ne serait pas un de ceux-là qui aurait besoin de mes services ?
Les trois compères se ...