La piscine
Datte: 27/05/2018,
Catégories:
fhhh,
extracon,
inconnu,
grosseins,
fépilée,
jardin,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Partouze / Groupe
totalsexe,
bourge,
Auteur: Capitaine must, Source: Revebebe
... vous poser.
Je le laissai parler, mais il n’avait pas l’air de vouloir partir. Je pris donc le taureau par les cornes et refermai mon peignoir du mieux que je pus, en le tenant avec mes mains, et me dirigeai vers la véranda.
— Que voulez-vous ? lui dis-je de la voix la plus ferme que je pus, mais néanmoins légèrement tremblante, trahissant mon émoi.
— Deux choses en fait. La première est qu’on a un problème électrique avec une machine, donc Francesco a dû partir au dépôt… La deuxième est que j’ai remarqué que j’avais quelque chose qui plaisait à madame.
Je tombai des nues. Qu’il me prenne en flagrant délit de voyeurisme, c’était une chose, mais qu’il m’en parle en était une autre. Je redevins la pivoine que j’étais, et détournai les yeux de ce malotru, sans rien dire, emplie d’une gêne que je ne contrôlais pas. Je restai là sans rien dire en espérant le voir partir mais, ne voyant pas beaucoup de réaction de ma part, ce dernier eut l’air de prendre les devants.
— Allez madame, faites pas la coincée, j’ai bien vu que j’ai quelque chose qui vous intéresse. On n’est pas obligés d’en parler à votre mari ou à mon chef. Y’sont même pas là.
Et sans que j’aie eu le temps de répondre la moindre chose, Momo ressortit son engin en baissant son petit short. Je ne pus rien faire d’autre que de focaliser à nouveau vers ce membre offert, et que malgré moi je convoitais.
— Allez, tu peux toucher, madame, t’as l’air d’en avoir envie.
J’étais comme hypnotisée, je restais ...
... là à regarder ce membre offert et dans un état second. Après un moment d’hésitation, je ne pus m’empêcher de tendre la main vers lui. Ce contact m’électrisa tellement sa peau était douce. Je me stoppai dans mon élan quand il me dit :
— Vas-y, elle te mordra pas…
De ce fait, sans réfléchir je repris ma caresse qui devint rapidement une masturbation. J’étais en transe. Je sentis son sexe prendre des proportions encore plus grandes que ce à quoi je m’attendais. Mon compère, non content de ma main, entreprit de découvrir le reste de mon anatomie en m’ouvrant le peignoir, sans me demander mon avis. Je me retrouvai donc les seins à l’air - et le reste en passe de l’être - en train de branler un type qui travaillait pour nous depuis peu. Sa main se fit plus entreprenante lorsqu’il empoigna un de mes seins et sa langue partit à la conquête de la mienne.
— Vas-y, baise-moi.
J’avais du mal à croire ce que je venais de dire. D’accord je ne suis plus trop « entretenue » mais tout de même, j’ai ma dignité. Le lascar ne se fit pas prier et envoya mon peignoir à travers la pièce, me retourna contre la paroi vitrée et sans autre forme de procès, me défonça la chatte d’un coup. Ce qui heureusement se passa sans trop de douleur, du fait que je mouillais énormément. Il me fit presque jouir sur le coup, tellement sa bite avait pris des proportions inhabituelles en moi.
— Oh ouuuui !!!
— Putain, t’aimes ça, ma bourge, t’aimes la bite, hein salope.
J’étais là à me faire prendre ...