1. La piscine


    Datte: 27/05/2018, Catégories: fhhh, extracon, inconnu, grosseins, fépilée, jardin, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe totalsexe, bourge, Auteur: Capitaine must, Source: Revebebe

    ... comme la dernière des putes, appuyée contre la baie vitrée, et sous les coups de butoir mes seins balançaient dans tous les sens. Je restais les yeux fermés lorsqu’une nouvelle main s’empara de mon sein droit alors que mon étalon me tenait par les hanches de ses deux mains. Lorsque je compris la venue d’un nouveau protagoniste dans l’histoire, je rouvris les yeux pour me rendre compte que Francesco venait de revenir de sa promenade, et me voyant ainsi offerte à la fenêtre, aux yeux de tous ceux qui pouvaient passer dans le jardin, il n’avait pu s’empêcher de participer à la chose.
    
    — C’est une putain de salope, j’te l’avais dit. En plus t’as vu les nibards. C’est une bombe et elle est pas farouche, la chienne. Si t’en veux y’en a pour tout le monde.
    
    Je n’en crus pas mes oreilles. Non seulement il me baisait sans trop me demander mon avis, mais en plus il n’hésitait pas à me partager avec ses copains. Et le Francesco de sortir sa bite, bien moins longue mais très épaisse et sans autre discussion de tirer sur ma nuque pour approcher mes lèvres de sa pine. Et moi, toute excitée de la situation, sans réfléchir, j’enfourne cette nouvelle bite dans la bouche, alors que c’est un plaisir que je refuse même à mon mari depuis des années. Ce fut tout d’abord assez écœurant au début, car la nouvelle bite sentait assez fort la transpiration et le sexe renfermé, mais mon excitation prenant le dessus, je m’en accommodai et entrepris une fellation digne d’une pro (aux dires de ...
    ... l’ouvrier).
    
    Les deux hommes me besognèrent comme cela pendant un moment, puis échangèrent leurs places, et enfin, après plusieurs changements de pose, je me retrouvai à genou, suçant comme je pouvais et recevant leur semence, que j’avalais. Le reste était trop abondant et finit sur mes seins, qu’ils malaxèrent sans délicatesse.
    
    Il ne me fallut que quelques instants pour reprendre mes esprits et me rendre compte de ma folie. Je ne leur dis rien et traversai la pièce en toute hâte, pour ma seconde douche de la journée. Quand j’en sortis, je regardai discrètement pour me rendre compte qu’ils avaient repris leur travail comme si de rien n’était. Comme si rien ne s’était passé. Je restai là dans mon coin, attendant leur départ, et redoutant le retour de mon mari envers qui je me sentais coupable. Je ne lui dis rien de la soirée et comme à son habitude il partit se coucher ivre de sommeil.
    
    Le lendemain je n’arrêtais pas de ruminer ma tromperie et évitais les ouvriers constamment. Je me sentais tellement coupable vis-à-vis de mon mari que je me résolus à tout lui avouer. Je ne pouvais plus le regarder plus longtemps sans mourir de honte à chaque regard. Prenant mon courage à deux mains, j’entrepris donc de me rendre à son bureau pour tout lui avouer. Autant le faire loin du lieu de mes méfaits, me dis-je. Je rentrai par la porte principale de l’immeuble, passai les divers secrétariats en me présentant, et finit par arriver devant sa porte.
    
    Je stoppai net en prenant ma respiration ...