1. La piscine


    Datte: 27/05/2018, Catégories: fhhh, extracon, inconnu, grosseins, fépilée, jardin, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe totalsexe, bourge, Auteur: Capitaine must, Source: Revebebe

    Je me présente. Je m’appelle Martine, mariée, sans enfant. Physiquement je me trouve encore très bien et apparemment je ne suis pas le seule, si j’en crois les regards appuyés de ces messieurs dans la rue, même si je ne fais pas grand-chose pour les provoquer. Trente-huit ans, un mètre soixante-neuf pour soixante-cinq kilos, des hanches pleines et surtout un généreux décolleté avec mon 95 D.
    
    Moi et mon mari vivons dans un petit village de campagne, depuis peu, où nous sommes très bien intégrés. Mon mari travaillant beaucoup et gagnant très bien sa vie, je me consacre à notre maison inachevée. Notre vie de couple est somme toute assez monotone, du fait des longues absences de mon mari et de l’état de fatigue dans lequel il rentre généralement. N’étant pas très portée sur le sexe, la faible fréquence de nos ébats ne me dérange pas. Nous vivions donc comme cela suivant notre petit train-train jusqu’au jour où tout bascula.
    
    Cela a commencé le jour où nous avons décidé de faire une piscine dans le jardin. Une équipe de deux ouvriers commença les travaux de maçonnerie. C’étaient un petit homme bedonnant du nom de Francesco et son collègue un peu plus mignon, de son surnom « Momo ». Fournis par une connaissance de mon mari, deux ouvriers qui, il faut l’avouer, n’étaient pas très qualifiés. Étant assez exigeante, je devais souvent leur faire recommencer les choses, si bien que je me les mettais un peu sur le dos. Les travaux eurent un peu de retard suite à quelques jours ...
    ... d’intempéries.
    
    Une semaine se passa lorsqu’un jour, me levant comme à mon accoutumée, je me retrouvai avec sous les yeux une vision qui me figea sur place. Momo était dans les buissons et finissait de soulager sa vessie, en entamant un lent va-et-vient pour chasser les dernières gouttes. Cette vision en d’autre temps m’aurait fait détourner les yeux de gêne, mais ce sexe capta toute mon attention tellement il était beau.
    
    Il lui remplissait allègrement la main en étant pourtant au repos. Moi qui suis habituée à celui de mon mari, nettement plus petit, je fus stupéfaite. Je n’en avais jamais vu de tel. Je ne sais combien de temps je suis restée là à contempler ce membre, mais je fus tirée de mes songes quand je me suis aperçue que le va-et-vient avait stoppé, et que Momo avait lâché son pénis et s’était tourné vers moi. Je relevai la tête et vis qu’il me fixait, ou plutôt me dévorait du regard, un grand sourire aux lèvres. Je me rendis compte de l’indécence de ma tenue plus que légère - se limitant à un petit peignoir éponge, un peu trop petit pour contenir mes formes - au sortir de la douche, comme je ne pensais pas les voir ce jour-là.
    
    Je devins rouge comme une pivoine et me cachai hors de sa vue dans une pièce voisine, celle-ci étant composée uniquement de baies vitrées. J’attendis dix minutes, honteuse, lorsque j’entendis la porte arrière s’ouvrir. On cria « madame » plusieurs fois. Je reconnus la voix de Momo et décidai de rester là.
    
    — Madame, j’aurais une question à ...
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