Balade pas trop loin de Lille
Datte: 26/05/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
forêt,
jardin,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... Quelques minutes plus tard, nous arrivons dans un endroit isolé, juste à côté d’une petite cascade. C’est Valentin qui parle le premier :
— Beau coin ! Dommage qu’il y ait cette odeur…
— Sans doute ces algues, mon Lapin, et le soleil par-dessus.
Pascal intervient, montrant du doigt un coin plus loin :
— Allons un peu plus loin. Là-bas, il n’y a plus d’algues.
Aussitôt dit, aussitôt fait. En effet, l’odeur a presque disparu, ce qui n’est pas un mal pour mon petit nez sensible. Mais un autre problème survient :
— J’ai chaud !
Pour confirmer mes dires, je soulève ma minijupe pour aérer ce qu’il y a dessous. Comme de coutume quand c’est ainsi, je ne porte rien. Valentin est à la fois ravi et étonné de ma décontraction. Il se tourne vers mon mari et lui demande :
— Elle est toujours comme ça ?
— Elle peut être pire…
— Pire ?
— Disons qu’avec toi, elle a beaucoup envie de jouer… Tu devrais le savoir. Tu as fait déjà quelques cams avec elle ; tu es même venu en début de mois. Et tu dialogues avec elle depuis un bon bout de temps.
— Oui, oui… Mais entre dire et faire, il y a une nuance.
— Sache que, quand Nella promet quelque chose, elle le fait. Donc, si elle t’a promis quelque chose, attends-toi à ce qu’elle tente de le concrétiser.
— Ah ! Merci de l’info…
Valentin a une étrange expression sur le visage ; je pense qu’il est en train de penser à toutes les conneries que j’ai pu lui sortir ces derniers temps, par mail, par webcam, au téléphone, et à ce ...
... que je lui avais promis. Bon courage pour se souvenir de tout !
Pascal tend à nouveau le bras :
— Il y a un banc un peu plus loin…
— Ah bon ? Allons-y.
Peu après, je suis assise sur un banc de pierre, avec Valentin à mes côtés. Je regarde l’eau couler, l’odeur de tout à l’heure en moins. Mon voisin en profite pour poser sa main sur mon genou. Bonne initiative.
Pascal s’assied dans l’herbe, face à moi. Quelque chose me dit qu’il a une idée derrière la tête, ou plus précisément entre mes jambes. Par contre, Valentin en reste là. Ah ces hommes (sauf le mien) à qui il faut tout expliquer ! Alors j’écarte un peu les jambes pour signifier à mon voisin qu’il est autorisé à s’enhardir.
Le seul qui en profite vraiment, c’est mon mari qui a la bonne place et la bonne vue… car Valentin se fait un malin plaisir de laisser sa main sur mon genou, sans chercher à aller plus loin et plus profondément.
J’ai à présent les jambes largement écartées, un boulevard, mais mon voisin se contente de me sourire d’un air crétin. Je suis persuadée qu’il l’a fait exprès. À moins que la présence de mon mari ne l’intimide. Mon mari, lui, mate à tout-va ! Au moins un qui en profite…
À moins que Valentin ne soit un de ces hommes qui veulent mener d’eux-mêmes la danse ; qui sait ?
Après nous être reposés au moins dix minutes sans que rien ne se passe – sauf à parler de tout et de rien – nous partons de là, suivant un petit chemin sinueux. Quelques minutes plus tard, nous voici arrivés ...