Balade pas trop loin de Lille
Datte: 26/05/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
forêt,
jardin,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... au pied d’un autre parc. Au pied, car il faut monter : soit la pente pour les vélos et les poussettes, soit l’escalier. Arrivés en haut, nous découvrons une petite plaine bosselée parsemée d’arbres et de bosquets, sans plan préconçu.
— Il n’y a personne ici ! s’exclame Valentin.
— Il n’y a jamais beaucoup de monde : c’est l’Alevinier qui est plus coté. De plus, comme tu peux le constater, ce parc est à moitié entretenu, le minimum syndical.
— Oui, je vois ça. Mais ça vous fait un endroit calme de promenade…
J’interviens dans la conversation :
— Tu ne crois pas si bien dire : j’ai fait quelques cochonneries dans ce parc…
— Ça, je n’en doute pas un instant ! D’ailleurs, je crois reconnaître certains endroits, comme cet arbre près des rochers ; je me souviens d’une photo avec une dame assez déshabillée, et écartant largement les jambes. Je me trompe ?
— Non, pas du tout ; bonne mémoire, mon Lapin !
— Quand il s’agit de toi, ma Puce, j’ai toujours bonne mémoire !
Je me contente de sourire, mais au fond de moi, ça me flatte un tantinet… Je lui donne illico une petite tape sur les fesses :
— Pff… Pour ça, tu as de la mémoire !
— Je peux même te dire combien de taches de rousseur tu as sur la fesse gauche.
— Tu as vraiment du temps à perdre, toi !
En cheminant sur le sentier qui serpente parmi les pelouses et les bosquets, nous finissons par arriver au sommet d’une petite colline au pied de laquelle il y a un lac et une île au milieu, le tout bordé ...
... d’arbres. Valentin questionne :
— Je croyais que le nord, c’était le plat pays ?
— C’est le plat pays par ici, mais ce parc a été implanté sur un ancien terril raboté, dont les gravats ont été utilisés pour la rocade et l’autoroute.
— On descend pour aller vers les grands arbres à gauche ?
Au pied d’un majestueux chêne s’étend une pelouse accueillante sur laquelle nous nous dépêchons de nous installer. Le terrain est légèrement en pente ; nous avons une belle vue sur le petit lac et son îlot central, et toujours personne aux alentours.
Valentin enlève sa chemise ; il y a des choses à ne pas faire sous mon nez ! Puis il s’allonge dans l’herbe, bras derrière la tête. Moi, je dis que c’est de la provocation pure et simple ! Alors je m’allonge à côté de lui, et du bout des ongles je commence à tracer des arabesques sur son torse. Il ne dit rien, il ferme les yeux. Je continue mes dessins, allant souvent taquiner vicieusement ses tétons. Sa réaction ne se fait pas attendre : il se retourne, me présentant son dos. Je ne me démonte pas ; je trace à nouveau mes arabesques sur sa peau maculée ci et là de brins d’herbe.
— Mon Lapin, tu arriverais à déchiffrer ce que je trace dans ton dos ?
— Un mot que tu écris, par exemple ?
— Oui, lettre par lettre…
— Alors vas-y.
— Je peux ?
— Si je te disais non, tu le ferais quand même…
Je ne réponds pas ; je trace mon premier mot sur son dos. Il trouve facilement :
— Lapin !
— C’est exact. Un autre maintenant…
Je trace un ...