1. Balade pas trop loin de Lille


    Datte: 26/05/2018, Catégories: fhh, couplus, forêt, jardin, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... ainsi.
    
    Tandis que Pascal fait les honneurs du reste de la maison, je me change et j’opte pour une minijupe à carreaux noirs et blancs, très vintage années soixante et pour un petit top tout blanc que je sais un peu transparent, surtout si on y regarde de près. Et comme il fait chaud, rien d’autre… Pas besoin de regarder de très près pour voir mes petits tétons pointer sous le fin tissu !
    
    — Tu… vas sortir comme ça ? demande Valentin.
    — Oui, pourquoi ?
    — Pour rien… pour rien…
    
    C’est à pied que nous quittons la maison ; nous traversons quelques rues, puis nous arrivons dans un petit chemin ombragé dans la verte campagne. Une brise bienvenue nous rafraîchit. Quelques centaines de mètres plus loin, nous arrivons au bord d’une route assez fréquentée. Pascal annonce :
    
    — Bon, voilà le point noir : franchir cette route puis, en face, enjamber la barrière.
    — Il n’y a pas un autre passage ? demande Valentin.
    — Si, mais là-bas, au niveau de la maison à droite.
    — Ce truc là-bas, c’est une maison ? C’est éloigné !
    — Au moins un kilomètre, donc deux en tout et pour tout.
    — Alors franchissons cette route et cette barrière.
    — Hé, oh, les hommes, vous m’aiderez ?
    — Pas de souci ! répondent-ils en chœur.
    
    Pas de voiture pour l’instant sur la route : nous en profitons pour traverser. C’est au niveau de la barrière que ça se gâte pour moi. Valentin est passé devant, Pascal est resté côté route, et moi, au milieu de mes deux hommes, mes deux mains dans les leurs, je tente ...
    ... d’enjamber cette barrière. Je dois lever très haut la jambe, et mon dijonnais se fait un plaisir d’admirer le spectacle que mon entrejambe lui révèle alors ; et il ne se prive pas de zieuter !
    
    Quand je mets le pied de l’autre côté et que mon autre jambe tente de franchir à son tour cette fichue barrière, c’est Pascal qui a droit à une vue non négligeable sur mon popotin. C’est à ce moment précis que choisit de passer une voiture. J’ignore si le conducteur ou la conductrice a pu voir quelque chose, mais bon : cul vu n’est pas perdu !
    
    Nous longeons actuellement l’alevinier ; il y a de grands arbres de part et d’autre, et il fait bon. Sauf quand ci et là il y a des trouées et que le soleil passe à travers le feuillage. Alors, la température remonte en flèche ! Enfin nous arrivons auprès des grandes étendues d’eau. Il y a là au moins quatre à cinq pièces d’eau qui communiquent par des petites cascades. Il y a plein de canards, un peu moins de cygnes et aussi plein d’autres oiseaux que je ne sais identifier. Il y a aussi sur certaines berges plein de pêcheurs, munis d’un attirail assez impressionnant.
    
    Moi, je suis contente de me balader avec Valentin, de lui faire découvrir ce lieu ombragé et frais. Nous croisons diverses personnes, dont certaines ont ostensiblement regardé ma tenue ; je ne peux pas leur jeter la pierre, elle est faite pour, mais plutôt à destination de mon dijonnais et aussi de mon mari. Là-bas, un petit carrefour ; je propose de suivre le petit chemin. ...
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