1. Balade pas trop loin de Lille


    Datte: 26/05/2018, Catégories: fhh, couplus, forêt, jardin, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... paraître mesquine ou cynique, mais…
    — Mais… tu voudrais que je complète ?
    — On va le dire comme ça… Mais, comment dire, Zamour… Ne crois pas que… que tu es ma roue de secours.
    — Je sais ; je te connais assez pour le savoir.
    — Je sais que tu me connais. Parfois, c’est agaçant, très agaçant ; mais souvent, c’est très bien ainsi.
    
    Je l’embrasse ; il répond fougueusement à mon baiser. Ce qu’il y a de bien avec mon mari, c’est que, malgré les années qui passent, qui lassent, il se comporte toujours avec moi comme un jeune amant. Nous roulons dans le lit, défaisant les draps. Il m’embrasse assez sauvagement, possessivement, comme pour poser sa marque sur moi, pour me reprendre à lui. Sans doute une pointe de jalousie, même s’il est permissif à mon égard.
    
    Très vite, sa tête se niche entre mes jambes et il me torture d’un délicieux cunni très appuyé et sensuel. Sa langue vrille entre mes lèvres détrempées, s’égare à l’entrée de mon vagin pour revenir de plus belle autour de mon clitoris en feu qui en redemande toujours et encore. J’agrippe ses cheveux, je plaque sa tête contre ma chatte dégoulinante ...
    ... pour que sa langue me torture plus encore ! C’est alors que je sens monter en moi une haute vague qui déferle, m’entraînant irrésistiblement dans une énorme jouissance !
    
    Je reprends un peu mon souffle, hagarde, pantoise…
    
    C’est alors que mon homme me lèche à nouveau impudiquement, sans pitié, cueillant ma cyprine, la buvant. Je tente de l’écarter, la sensation est trop forte.
    
    — Non, Zamour, attends un peu !
    — Attendre ?
    
    Il se relève, se positionne et plonge sa queue en moi, au plus profond. Il vient s’aplatir sur mes seins, les écrasant, puis sa bouche souillée se plaque sur la mienne, me faisant ainsi goûter ma propre cyprine. Tandis que nous nous embrassons furieusement, il me pistonne férocement. Je le griffe, je le mords, il en fait de même ; nous faisons vraiment sauvagement l’amour !
    
    Il ne nous faut pas bien longtemps pour jouir de concert : il explose en moi, me remplit, me comble tandis que je décolle, emportée à nouveau comme un fétu de paille dans le grand fleuve de mon impudique jouissance. Et je sais que demain sera un autre jour tout aussi émoustillant : j’ai hâte d’y être ! 
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