Balade pas trop loin de Lille
Datte: 26/05/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
forêt,
jardin,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... petite brise et un certain silence : je m’endormirais bien tout de suite ! Je glisse une main dans la chemise de Valentin ; j’aime jouer avec ses boucles… Mon autre se pose sur l’épaule de mon mari. J’irais bien m’aventurer sur son torse, mais il est trop bas pour moi. Par contre, quand il remue la tête, il presse agréablement sur mon pubis qui est déjà assez en émoi comme ça ! Valentin glisse sa tête au bord du dessous de mon sein. Qu’a-t-il derrière la tête ? Je le découvre bien vite quand il embrasse la base de mon sein par-dessus le fin top blanc.
Je ne dis pas non, d’autant que le tissu est fin. Valentin, un clone de Pascal ? Oui et non, car mon mari est nettement plus entreprenant. Il l’a d’ailleurs été dès le premier jour que nous nous sommes connus, avec une assurance tout naturelle qui m’avait surprise à l’époque. Je me souviens très bien de notre première rencontre ; elle a été épique ! Pascal m’a très vite prise dans ses bras et m’a embrassée spontanément. Après un long baiser suivi d’autres, j’ai fini par reprendre mes esprits et lui demander :
— Ahem… on ne va pas un peu vite ?
— Que faisons-nous de mal ? J’en avais une énorme envie, et vous ne m’avez pas dit non, à ce que je sache.
— J’ai été surprise !
— Il vous faut un certain temps pour vous remettre de votre surprise…
Puis il m’avait embrassée passionnément. J’aurais pu me débattre, le repousser, dire simplement non, mais je me suis laissée faire. Ça me changeait beaucoup de mon ex, et c’est ...
... excitant de se sentir désirée ainsi ! Plus tard, Pascal me parlera de sa phrase fétiche, selon laquelle il vaut mieux avoir des remords d’en avoir trop fait que des regrets de n’avoir rien fait. Phrase adoptée par mes soins ensuite ! Dans la même catégorie, une autre phrase : « Qui ne tente rien n’a rien. » Ce qui n’est pas faux non plus…
Retour en ce mois de juillet de maintenant avec mes deux hommes. Valentin s’amuse toujours à me bisouter sous le sein, et mon mari me caresse distraitement les jambes. Moi, je regarde passer les rares nuages dans ce ciel si bleu.
Je me dis que nous vivons à trois une situation un peu ambiguë, Valentin dont je ferais bien mon petit goûter, et mon mari dont je suis toujours amoureuse. Et moi au milieu qui leur sers d’oreiller…
Finalement, il ne se passe rien. Mis à part quelques frôlements, qu’est-ce que je pouvais espérer ici, dans un parc proche d’une cité ? Nous repartons par le même chemin, tranquillement ; il fait à présent moins chaud, ce qui est agréable. Nous croisons sur le chemin d’autres promeneurs et quelques vélos. Nous parlons de Dijon, une ville dans laquelle je n’ai jamais mis les pieds, mais où j’espère bien aller un jour. À un moment donné, Valentin demande à Pascal :
— Ce petit chemin herbeux sur le côté, ça donne où ?
— Ça dépend : tout droit, tu arrives à la voie ferrée ; un peu plus loin à droite, vers quelques fourrés, rien de passionnant ; et à gauche, vers un petit bois. Disons un gros bosquet, plutôt.
— Ton ...