Balade pas trop loin de Lille
Datte: 26/05/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
forêt,
jardin,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... soulèvent des nuages derrière eux. Je ne parlerai même pas des vélomoteurs qui foncent droit devant, sans se soucier qu’il y ait quelqu’un ou pas ! L’un d’entre eux a même frôlé mon Pascal.
— Tournons ici… dit mon mari.
— Pourquoi ? La route, c’est tout droit.
— Oui, c’est vrai ; mais jouer les toréadors n’est plus trop de mon âge.
— C’est vrai qu’il n’est pas passé loin !
— Ce chemin est nettement plus petit ; à vélo, on passe difficilement. Donc en mobylette, c’est encore plus malaisé.
En effet, ce chemin se rétrécit beaucoup et nous-mêmes en tant que piétons, nous n’arrivons même plus à être deux de front.
— Tiens, j’entends de la musique… dit Valentin.
— Normal, nous approchons d’une cité, répond mon homme.
— Ce n’est pas une musique de cité, ça : c’est du Céline Dion.
Pascal sourit puis ajoute :
— La moyenne d’âge dans cette cité dépasse celui du départ en retraite.
— C’est une cité très calme alors.
— Oui.
— Sauf quand les gens écoutent dehors leurs musiques diverses et variées…
— Pourquoi tu dis ça ?
— Il me semble bien entendre à présent du Frédéric François, ou un chanteur de la même eau…
Je m’immobilise pour mieux écouter.
— Tu as raison, c’est du Frédéric François ; comment tu sais ça, toi ?
— Ma mère ne déteste pas ; elle avait une grosse pile de trente-trois tours et aussi de quarante-cinq tours de cet artiste.
— Je compatis !
— Tu es méchante envers ma pauvre maman…
— Meuh non ! Allez, viens ici que je te fasse un gros ...
... bisou-câlin !
Et je joins le geste à la parole : je me jette sur lui, le pressant bien contre moi, histoire de lui faire bien sentir mes courbes, puis je lui dépose un bisou bien sonore sur la joue, à défaut de pouvoir bien viser plus à côté.
Peu après, nous arrivons sur le petit parc. Il faut monter une petite butte pour y accéder, car ce n’est pas vraiment ici l’entrée principale. Pascal passe devant pour indiquer le passage ; je suis derrière, mais je ne suis pas trop à l’aise pour grimper, ce n’est pas évident. Soudain je sens deux mains sur mes fesses qui me poussent. Par amusement, je remue du popotin pour bien les sentir sur moi, puis je stoppe sur place pour me faire royalement pousser. Pour toute réponse, les mains en question glissent le long de ma jupette pour venir ensuite se glisser dessous, et sans vergogne elles viennent titiller un endroit sensible de mon anatomie ! Je sursaute, et poussée par dessous, j’avance vers le sommet de la butte. Avec un certain regret, je sens les mains partir. Arrivé à mes côtés, Valentin dit simplement :
— Tu transpires facilement, en effet…
Nous sommes allongés tous les trois sur l’herbe, moi au milieu, Valentin sa tête sur ma poitrine et Pascal la sienne sur mon pubis. Nous devons former un spectacle assez singulier pour ceux qui auraient une très bonne vue. Peu importe : j’ai mes deux hommes avec moi et j’en profite ; et tant pis pour les jaloux. Et les jalouses !
Le soleil à travers le feuillage, l’herbe fraîche, une ...