Je suis un jouet entre ses mains (15)
Datte: 26/05/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: donico, Source: Xstory
... plus en plus que le « jeu » a dépassé sa volonté. Ça me fait peur, mais je réalise que je commence à apprécier ce qui m’arrive. Être utilisée sans pitié par plusieurs inconnus, dont un au moins pourrait être mon père, devrait me terrifier et me fermer totalement. Pourtant je suis toute mouillée et follement excitée. Des clapotis se font même entendre tandis qu’il me baise comme une chienne, signe que ma vulve dégouline de cyprine.
« Ce n’est pas possible, qui suis-je ? »
— Attendez les mecs, je veux en profiter aussi ! lance le dernier, celui qui se contentait jusqu’ici de nous regarder.
Le gros derrière moi se retire, si bien que je manque de m’affaler par terre quand il me lâche. Heureusement que la table est là pour me retenir, car mes jambes refusent de me porter, paralysée que je suis par la peur !
L’autre se retire de ma bouche à son tour, bien à contrecœur, le temps de me repositionner comme ils le veulent. Celui qui nous observait m’attrape par-derrière, il s’assoit sur la table et me positionne au-dessus de lui. Avant que je ne puisse comprendre ce qu’il fait, il commence déjà à s’introduire lentement dans ma rondelle, qui n’est pas encore habituée à ce traitement !
Je crie de surprise et de douleur, mais cela n’a pour effet que de faire redoubler les rires de mes bourreaux. Il ne tarde pas à être au fond de moi, si bien que je suis aussi dégoûtée par son contact que déchirée par son membre. Et ce n’est pas fini, puisque le gros se positionne face à ...
... moi et glisse à son tour sa bite entre mes cuisses.
« Ils ne veulent quand même pas me prendre par les deux côtés à la fois ? »
Et bien si. Il s’insère doucement en posant ses grosses paluches sur ma poitrine, puis il termine en me pilonnant d’un puissant coup de rein. J’ai deux bites en moi, ce qui me fait ouvrir la bouche en un hurlement de douleur silencieux !
Cruelle erreur, puisque le troisième en profite pour me coller de nouveau sa queue dans la bouche. Ils me tringlent dans tous les sens, par tous les trous, je ne suis plus qu’un objet livré à leur perversité. Et mon Dieu qu’ils sont pervers !
Pauvre jeune fille innocente que je suis, j’ai l’impression que la jeunesse et la douceur de mon corps ne font qu’accentuer la noirceur de leurs pensées et de leurs actes. Loin de les arrêter ou de ralentir leurs ardeurs, ça ne fait que déchaîner leurs plus viles pulsions.
« Une jeune femme innocente ? Chouette, massacrons-la ! »
Les monstres me démolissent dans tous les sens, ils me font me retourner, m’insultent, me giflent et me crachent dessus, ils se moquent de Thomas… Et bientôt ils se retirent pour se masturber sur ce qu’il reste de moi.
Je les observe du coin de l’œil, déjà un peu ailleurs, jusqu’à ce qu’un jet de foutre brûlant vienne m’asperger le visage.
« Le salaud ! »
Il ne s’agit absolument pas « d’un » jet de foutre, surtout que ses comparses se mettent rapidement de la partie. Je finis recouverte de sperme, comme la dernière des traînées, ...