1. Je suis un jouet entre ses mains (15)


    Datte: 26/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: donico, Source: Xstory

    ... l’estomac. Il ne va quand même pas me faire mal ? Veut-il mettre en place un jeu sado-maso ? Je ne suis vraiment pas sûre que j’aimerais ça, je suis plutôt douillette…
    
    — Rappelle-toi : à tout moment tu peux crier : "banane flambée". N’hésite pas dès que tu en ressens le besoin.
    
    J’acquiesce, ce qui accentue son sourire. J’ai l’impression de toucher là un de ses fantasmes les plus profonds, puisque même s’il semble craindre ma réaction, il rayonne visiblement de plaisir.
    
    Soudain, la porte d’entrée de l’appartement est ouverte brutalement et j’entends des personnes qui rentrent. Est-ce l’épreuve de Thomas ? Je n’en suis pas certaine, il a l’air paniqué.
    
    — Reste derrière moi ! me lance-t-il.
    
    Ne sachant pas s’il s’agit d’un jeu ou non, je m’exécute sans broncher. Trois hommes font alors irruption dans notre salon, et je réalise vite que je n’en connais aucun.
    
    — Qu’est-ce que vous voulez ? demande Thomas.
    
    Ils ne répondent même pas, mais deux d’entre eux l’attrapent et le plaquent au sol. Tandis qu’ils le traînent jusqu’à une chaise, sur laquelle ils entreprennent de l’attacher, le dernier se jette sur moi. Je tente de me débattre en hurlant, mais aussi en essayant de me cacher autant que possible. Je porte en effet toujours la tenue que Thomas m’a fait enfiler ce matin, celle des affaires de sport déchirées.
    
    J’ai un trou dans mon T-shirt au niveau de la poitrine, ce qui rend un de mes seins largement visible. J’en ai d’autres dans mon jogging, ce qui ...
    ... dévoile une partie de mes cuisses, quasiment jusqu’à mon sexe, et presque toutes mes fesses. D’autant plus que Thomas a évidemment insisté pour que je ne mette pas de sous-vêtements ce matin.
    
    — Bouge pas ou je te cogne ! me lance l’homme qui me tient.
    
    Il doit avoir dans les quarante ans et il est assez massif pour m’impressionner et me faire redouter l’application de ses menaces.
    
    — On t’a vu faire ton jogging ce matin, tu nous as trop fait bander salope ! Agiter ton petit cul comme ça devant nous… et tu pensais peut-être qu’on ne dirait rien ?
    
    Ces propos me rassurent : je ne suis pas allé courir ce matin, alors oui c’est bien d’un « jeu » dont il s’agit. Mais jusqu’où ira ce jeu ? J’en ai une petite idée, et j’avoue que pour le moment ça me terrifie plus que ça m’excite.
    
    Pourtant, je sais que deux mots peuvent tout arrêter. Paradoxalement, ça m’incite à ne pas les utiliser. Je me dis que je peux bien attendre encore un peu, voir venir. Si vraiment les choses vont trop loin, alors à ce moment-là j’arrêterais tout.
    
    Tandis que les deux compères terminent d’attacher Thomas sur sa chaise, le géant me colle une de ses énormes paluches sur les fesses. Il me les presse comme un animal, tâtant la marchandise pour l’évaluer.
    
    — Putain c’est de la bonne came qu’on a là ! Tu vas prendre cher, petite…
    
    — Je vous en supplie, non ! imploré-je, sans croire un instant que cela puisse servir à quoi que ce soit.
    
    — Ouais supplie-moi, j’adore ça ! lâche le type qui me tient en ...
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