1. Je suis un jouet entre ses mains (15)


    Datte: 26/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: donico, Source: Xstory

    ... riant grassement.
    
    Il me projette alors contre la table de salon, sur laquelle je m’affale à moitié. Je tente de me relever, mais il est plus rapide : il me maintient en place d’une poigne de fer. Une de ses mains m’appuie dans le dos pour m’immobiliser, tandis que de l’autre il me saisit déjà un sein, celui qu’il peut atteindre par la déchirure de mon T-shirt. Il me le presse sans pitié.
    
    — Je vais bien m’amuser avec toi, petite cochonne ! me lance-t-il.
    
    Pendant ce temps, ses deux acolytes qui ont terminé d’attacher Thomas nous observent d’un œil pervers. Il est évident que, s’ils attendent leur tour pour le moment, j’aurais droit à leur visite d’ici peu…
    
    Thomas se dandine sur sa chaise, il tente de se libérer comme il peut. Le jeu aurait-il dépassé sa volonté initiale ? Soit les choses sont réellement en train de déraper, soit il est très bon comédien.
    
    — Arrêtez ! supplie-t-il à son tour. Laissez-la, ne la touchez pas !
    
    Ses suppliques ne provoquent qu’un éclat de rire chez nos agresseurs, le géant accentue même sa pression sur moi. Sa grosse main quitte mon dos pour se poser sur mes fesses. Mais au lieu de les caresser comme je le pensais, il fait carrément descendre mon jogging d’un geste brusque. Le salopard, je me retrouve avec les fesses à l’air devant mes tortionnaires ! Elle s’il n’y avait que mes fesses…
    
    — Regardez-moi cette petite chatte de pucelle ! commente-t-il en passant ses énormes doigts sur mes délicates lèvres vaginales. Ça doit être ...
    ... étroit là-dedans, j’ai hâte d’aller y faire un tour !
    
    Nouvelle salve de rires gras.
    
    — Je vous en supplie ! tenté-je de nouveau en pleurant, incapable de me retenir.
    
    — Ta gueule, petite chienne ! éructe le géant en me claquant les fesses avec force.
    
    Je gémis légèrement de douleur, mais je parviens à ne pas crier. Je ne tiens pas à leur faire ce plaisir, même si une nouvelle larme roule sur ma joue.
    
    — Elle parlera peut-être moins avec ma bite dans la bouche, ricane un de ses comparses en sortant son sexe.
    
    Il se place devant moi, sa queue bandée à l’extrême à quelques centimètres de mon visage.
    
    — Bouffe-ça, salope ! lâche-t-il en se saisissant de mon crâne et en m’enfournant son membre turgescent dans la bouche.
    
    Je n’ai pas d’autre choix que de subir ses assauts, préférant jouer le jeu en faisant courir ma langue dessus. Mon calcul est simple : plus vite je les ferais jouir, plus vite ce cauchemar se terminera. Mais c’est plus facile à dire qu’à faire : le sexe qui va-et-vient dans ma bouche manque de m’étouffer à chaque passage, l’absence de tendresse de mes agresseurs ne me facilite pas vraiment la tâche !
    
    Pendant ce temps, l’autre s’introduit en moi sans plus de manières et me ramone à grands coups de rein sans aucune considération pour ce que je peux bien ressentir.
    
    — Ta meuf est vraiment bonne, je suis sûr qu’elle est pas habituée à se faire prendre comme ça ! lance-t-il d’ailleurs à Thomas.
    
    Mon copain n’en mène vraiment pas large, je pense de ...