Comment sauver son mariage (cocu)
Datte: 30/08/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Première fois
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... soirée, j’hésitais encore, j’avais peur sans doute. C’est terminé. Je suis décidée. À l’humidité chaude que découvrent maintenant mes doigts dans ma fine culotte, je sais que je vais aller au bout de cette aventure qui débutera dans quelques minutes. Il est 20 h 59.
Il est 21 h 15. Toujours pas de Roland à l’horizon. Il n’a pas même pris la peine de m’appeler. Michel est toujours en planque en attendant son retour, et vient de m’envoyer plusieurs SMS pour me montrer son impatience. Je voulais que Michel lui laisse quelques minutes d’avance, le temps que je dise à Roland que nous attendions un visiteur et que celui-ci était mon amant. J’aurais observé son air défait, et ouvert la porte. J’aurais embrassé Michel devant lui pour le faire souffrir et peut-être même me serais-je laissé toucher un peu, avant de mettre un terme à la punition. Mais il n‘arrive pas. J’ai moi-même adressé plusieurs messages à Roland, mais il ne répond pas.
Tant pis, montez.
C’est le dernier texto à Michel. Je ne sais pas ce que nous allons faire, mais le laisser dans la rue n’est pas très poli. Il n’a pas répondu, mais la sonnette a retenti. J’ai ouvert. Il gravit les étages et frappe à ma porte.
Le gars est encore plus beau que dans mes souvenirs pourtant récents. Il est allé chez le coiffeur et porte un costume sombre du meilleur effet. Son odeur est un mélange de senteurs toniques et de sueur, du moins c’est ça qui me monte au cerveau et me trouble. Sa barbe de trois jours lui va à ...
... merveille. Il entre sans excès de courtoisie, un grand sourire carnassier accroché aux lèvres, et se dirige droit vers le salon.
Je regrette déjà. Certes il est bel homme, mais je n’aime pas ses manières. Il me fait penser aux loups de la finance, froids et distants, qui achètent plus qu’ils ne conquièrent, et se croient tout permis. Je n’ai pas eu le temps de prononcer un mot que déjà assis et me fixe de son regard métallique.
— Vous êtes toujours décidée, Marie ?
— Je l’étais. Je ne sais plus…
— Vous avez peur. C’est normal. Je vous avais proposé de nous rencontrer juste tous les deux d’abord pour faire plus ample connaissance, et vous avez préféré passer directement à la phase finale. Ce n’est plus le moment d’hésiter.
Il a prononcé ces mots sur un ton qui me semble non pas autoritaire, mais ferme et décidé. Je sens mes membres trembler. Tout à coup j’ai effectivement peur. Mon estomac est noué, je sens mes jambes fébriles.
— C’est que… je ne sais plus… Tout est allé si vite. J’ai…
— Où est votre mari ?
— Je ne sais pas. Il devrait être rentré. Il va peut-être ne pas tarder. Vous devriez partir avant qu’il n’arrive.
— C’est hors de question. Je suis venu à votre demande et vous m’avez payé. Nous allons attendre votre mari ensemble. Si vous voulez toujours renoncer, il ne se passera rien. Vous me présenterez comme un vieil ami quand il arrivera. Nous prendrons un apéritif, vous me garderez à dîner, et je partirai à 1 h 30 comme convenu. Mais si d’ici ...