1. Comment sauver son mariage (cocu)


    Datte: 30/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Première fois Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... qui nous observe. Il est rentré sans bruit et nous regarde. Il m’a vue. Il me voit. Il n’y a pas de colère sur son visage, mais un rictus, un rictus de victoire, comme s’il avait toujours pensé que je le trompais sans jamais me prendre en faute et que ce soir enfin, il me prenait la main dans le sac, ou plutôt les doigts dans la chatte.
    
    Je lâche la queue de Michel. Je suis tétanisée. Il a vu Roland lui aussi, mais ne bouge pas. Je sens ses mains me soulever à nouveau. Je voudrais me lever et courir vers la chambre, me cacher, mais il m’en empêche. Il me force à me lever, me tire par la main derrière le canapé, me retourne et me force à prendre appui sur le dossier, à me pencher en avant et à me cambrer. Je ne parviens pas à me dégager. Déjà je sens son bassin me presser, sa main fouiller entre mes cuisses et sa queue s’insinuer dans ma vulve. Je n’ai pas le temps de réagir qu’il m’a déjà prise debout, à fond. Sa queue est énorme dans mon sexe, il me soulève du sol en me prenant. Mes yeux pleurent en regardant Roland qui a toujours ce rictus accroché aux lèvres. Il a sorti son sexe de son pantalon et se masturbe en me regardant me faire baiser.
    
    Michel me bourre en me tenant par les seins. Je ne peux plus dire non, je ne veux plus dire non. Je sens une honte effroyable s’abattre sur moi à mesure que mon plaisir s’accroît. J’aime comme il me prend, j’aime sa queue qui me perfore, et je hais cet homme qui me regarde. De la haine, oui, c’est ça, de la haine.
    
    En regardant ...
    ... Roland dans les yeux, je demande à Michel de me baiser plus fort, je hurle qu’il me fait du bien, que j’aime sa queue, que je le sens bien. Je dis des mots crus, abjects, dégoûtants, et je les dis avec plaisir. Je lui demande de me défoncer, de me salir, de me déchirer. Je crie que jamais personne ne m’a jamais aussi bien baisée, que je ne veux pas qu’il jouisse tout de suite, que j’en veux encore. Je dis n’importe quoi, mais tout est vrai. Il se déchaîne dans ma chatte et j’aime ça.
    
    Le visage de Roland s’est déformé. Il est vert de rage et même temps qu’il exulte. La douleur lui fait du bien, elle le motive et le transcende. La douleur le rend beau. Il veut souffrir, il souffre. Pas sous les coups, pas sous le fouet, juste en regardant et en entendant sa femme se faire sauter comme une salope, sous ses yeux.
    
    Je n’ai plus de limites. Je le hais tellement que je veux lui faire encore plus mal, et me faire encore plus de bien. Quand Michel a craché sur mon cul j’ai compris ce qu’il voulait faire et un instant, j’ai failli refuser. Refuser pour de bon. Mais ce ne fut qu’un instant. Celui d’après, j’ai écarté mes fesses et saisi sa queue pour lui montrer le chemin. Et je lui ai demandé de m’enculer. Encule-moi, encule-moi, sans quitter Roland des yeux, un Roland aux abois, qui a craché son foutre sur le tapis, l’air médusé.
    
    Je n’ai pas aimé la suite immédiate, quand Michel a poussé. La douleur a été trop forte, trop intense. Il s’est arrêté un instant avant de reprendre, ...