Comment sauver son mariage (cocu)
Datte: 30/08/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Première fois
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... clitoris, le lèche des lèvres, titille mon oignon de son doigt alors que son autre main me soulève les fesses. Je vais jouir, je sens que ça monte. Cette fois c’est lui qui va me faire jouir et j’ai honte, tellement honte que je pleure en l’implorant d’arrêter. Je lui demande d’arrêter sinon il va me faire jouir, et me faire jouir, c’est ce qu’il veut. Alors il n’arrête pas, il accélère, et je m’abandonne. Je coule sur ses doigts, je hurle de plaisir, je me cambre et je tremble. Je suis malheureuse, et j’aime ça.
Michel s’allonge sur moi et je sens le poids de son corps. Je sens son sexe raide contre mon ventre alors qu’il m’embrasse. Nos sueurs se mêlent comme nos salives. Il est temps que je l’éconduise, que je le remercie et qu’il parte. Mais je voudrais avant tenir son sexe dans ma main, juste un peu, juste une fois.
J’ai passé une main entre nos corps pour me saisir de son membre. Il est très gros et très chaud, dur comme du bois, palpitant et tonique. Il bouge son bassin pour aller et venir dans ma main. Après-tout, je peux bien lui laisser de plaisir, je viens de jouir par deux fois grâce à lui. Je vais le laisser continuer et répondre à ses baisers pour l’exciter.
Il s’arrête et se redresse, fier, le sexe tendu. Il saisit ma main pour que je reprenne le mouvement. Je le masturbe doucement au-dessus de mon ventre. Petit à petit il remonte vers mon visage. Je le vois venir. Il croit que je vais le sucer. Même si j’en ai très envie, je ne peux pas. Je ne veux ...
... pas. Il se contentera de ce petit coup de langue, puis de cet autre. Il force ma bouche que j’entrouvre pour prendre quand même un peu son gland. Il rentre avec peine. Je dois m’arrêter là.
Je le masturbe encore un peu avant de dire stop. J’ai quand même très envie de le sentir dans ma bouche rien qu’un peu, juste pour voir. Je le laisse entrer, il manœuvre avec délicatesse, ressort et entre à nouveau un peu plus. Ça s’appelle sucer ça, non ? Je ne veux pas le sucer et pourtant c’est bien ce que je fais. Il semble adorer ça, et finalement ce n’est pas si désagréable pour moi. Je vais continuer rien qu’un peu, puis le faire jouir avec ma main. Comme ça nous serons quittes.
Si Roland arrivait maintenant, ce serait une catastrophe.
Il me verrait nue, allongée, un homme à genoux au-dessus de mon visage que je suis en train de sucer et de branler, un homme jeune et musclé, bien monté, qui s’enfonce dans ma bouche. Il verrait que je me masturbe en même temps, que mon corps ondule, que je suis au bord du précipice. Il comprendrait que si mon éducation ne m’en empêchait pas, je serais prête à me mettre à genoux pour que cet homme me prenne, qu’il me baise brutalement sur notre canapé.
Des images me viennent de mon mari ; j’ai fermé les yeux pour penser à lui et ça ne rend triste. Je suis en train de le trahir et qu’il l’ait fait avant moi n’y change rien, j’ai honte de moi.
Quand j’ouvre à nouveau les yeux, je crois rêver. À ma droite, à quelques mètres, Roland est là ...