La correspondante asiate de Marie (1) - Histoires de Sexe

La correspondante asiate de Marie (1)

... faire correspondre. Il enfouissait son visage dans ceux qui avaient été portés par la jeune fille, les léchait, s’en servait pour envelopper le bout de son sexe afin de décupler les sensations de la masturbation.

A force, Jean-Edouard s’était familiarisé avec les tenues de Samaryl : beaucoup de petites jupes, de robes légères, des shorts et quelques jeans. Parfois, il disposait sur la moquette une de ses paires de chaussures à talons, puis une de ses jupettes et un de ses slips, avant de se branler comme un dingue. Puis il nettoyait le liquide gluant qui avait giclé un peu partout, repliait les vêtements et les rangeait dans l’armoire.

Mais ces agissements le faisaient se sentir minable et détestable. Quand Samaryl lui adressait la parole d’une voix douce, il se revoyait occupé à téter ses slips sales et ne pouvait endiguer le sentiment de honte qui le submergeait et qui l’empêchait de se montrer aimable avec l’adorable poupée. Alors il bégayait, baissait la tête et s’enfuyait en rasant les murs.

Pourtant, malgré son comportement parfois étrange, Samaryl continuait de lui témoigner un respect total. A table, elle s’empressait de lui tendre le pichet d’eau, le sel ou la corbeille à pain dès qu’il esquissait le moindre geste en leur direction. Les parents étaient tombés sous le charme de leur invitée et ne tarissaient pas d’éloges à son sujet :

-Elle est adorable cette petite, polie, prévenante et raffinée, la belle-fille idéale …

-N’est—ce pas Jean-Edouard ? insistait le père en lançant à son épouse des regards de connivence, ce que le fils détestait plus que tout au monde …

Marie faisait des efforts et s’accommodait de la présence de sa correspondante sans toutefois la traiter comme une amie. Le jeune homme était donc le plus réservé des quatre. Il fuyait le regard lumineux de Samaryl, lui parlait sans tendresse et seulement quand il y était contraint …