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La correspondante asiate de Marie (1)
Datte: 23/05/2018, Catégories: Hétéro Auteur: marcroomis, Source: Xstory
L’Audi pénétra dans la cour gravillonnée du manoir des Ghuilemins et s’arrêta devant le perron fleuri sur lequel attendaient Jean-Edouard et sa mère. A l’avant de la voiture, le reste de la famille : le père, et sa fille Marie, une jolie blonde d’une vingtaine d’années. Sur la banquette arrière, une invitée qui frissonnait à cause de la clim’ : Samaryl, la correspondante indonésienne de la jeune française, qui venait d’arriver en Gironde et allait passer une bonne partie de l’été à Bordeaux. Jean-Edouard fut subjugué par la sensualité de la jeune fille. Les parents du garçon avaient eu le privilège de la voir en photo bien avant cette première rencontre et avaient déclaré d’un ton neutre qu’elle avait l’air « plutôt mignonne ». Mais Jean-Edouard n’avait pas pensé qu’elle puisse être ravissante à ce point. En cette belle fin d’après-midi, chaude et ensoleillée, elle portait une jupe noire très courte et très serrée qui révélait des jambes d’une beauté infernale. Les proportions parfaites de son corps de nymphe la faisaient paraître plus haute qu’elle ne l’était en réalité. Ses beaux cheveux sombres et lisses dégringolaient en cascade jusqu’à ses fesses et accentuaient encore cet effet trompeur. Ses grands yeux de jais étaient en forme d’amande et son nez à l’image de tout son être, fragile et délicat. Ses lèvres fines s’entrouvraient sur des quenottes bien alignées, saines et blanches comme la neige. Elle avait une peau mate et satinée qui donnait très envie de la caresser ...
... … Elle adressa un sourire charmant à Mme Ghuilemins avant de la saluer d’une courbette d’un autre âge qui contrastait d’une adorable façon avec son allure dynamique d’étudiante moderne. Puis elle se tourna vers Jean-Edouard, qui se pencha pour l’embrasser maladroitement sur la joue alors qu’elle s’apprêtait à le saluer comme sa mère. Elle esquiva sa bouche entrouverte et gênée lui adressa une poignée de mains fuyante, en guise de compromis. Marie présenta son frère sans faire l’effort de dissimuler le mépris qu’il lui inspirait : -Mon frère aîné : Jean-Edouard … Jean-Edouard : ma correspondante, Samaryl. Marie était bien la seule à ne pas être enjouée et Jean-Edouard eut tout de suite une hypothèse à ce sujet : sa soeur avait l’habitude d’affoler les garçons – c’était une jolie blonde d’une vingtaine d’années, toute fine - mais supportait mal la concurrence. La présence dans son entourage d’une jeune femme capable de rivaliser pouvait la rendre agressive voire méchante. Vu la bombe asiatique qu’elle allait devoir se coltiner pendant plus d’un mois, elle devait être fort contrariée et c’était bien fait, pensa le garçon, pour cette horrible pétasse pourrie gâtée ! Mme Ghuilemins invita Samaryl à entrer dans l’imposante demeure tandis que son époux ordonnait à son fils d’emporter l’énorme valise de la belle dans la chambre d’amis, au premier étage. Jean-Edouard entendit sa mère protester : la jeune fille venait d’ôter ses ballerines beiges en cuir à l’entrée, arguant ...