1. La correspondante asiate de Marie (1)


    Datte: 23/05/2018, Catégories: Hétéro Auteur: marcroomis, Source: Xstory

    ... qu’elle préférait aller pieds nus.
    
    Le garçon était bouleversé. Cela faisait des mois qu’il fantasmait sur Samaryl. Quand il se branlait dur, il l’imaginait comme les poupées japonaises de ses vidéos pornos. D’abord réticente :
    
    -Monsieur Jean-Edouard, enlevez votre main de ma culotte, ce n’est pas convenable, nous n’avons pas fini la cérémonie du thé !
    
    Puis insatiable :
    
    -Encore ! Encore ! Vous êtes beau ! J’aime baiser avec vous ! Et vous êtes très bien monté en plus !
    
    Mais quand il avait craché son foutre - non pas sur le beau visage de la demoiselle de ses rêves mais dans ses draps blanchâtres et malodorants -, il se disait qu’avec sa chance habituelle Samaryl ressemblerait sans doute à une de ces petites Chinoises à lunettes de la Fac de math., atroces avec leurs cartables sur le dos, leurs couettes et leurs grosses baskets roses de gamines. Ses parents n’avaient-ils pas dit qu’elle était seulement « plutôt jolie » ?
    
    Mais Samaryl était vraiment superbe et ne s’apparentait à aucun de ces deux types d’asiatiques, les seuls, à vrai dire, que le garçon connaissait. Bien que très diplômé, et en passe de l’être encore davantage, ce dernier s’intéressait bien plus aux jeux sur PC qu’au monde qui l’entourait. C’était d’ailleurs en partie pour cette raison qu’à vingt-quatre ans, Jean-Edouard n’avait encore jamais fait l’amour ni même embrassé la moindre fille.
    
    Une fois dans la chambre d’amis, il s’empêcha d’ouvrir l’imposante valise : il était encore trop ...
    ... tôt. Le jeune homme savait qu’il aurait d’autres occasions de s’amuser avec les sous-vêtements de la poupée indonésienne …
    
    Samaryl, les parents et Marie, s’étaient installés sous la véranda qui donnait sur le jardin et la piscine. Mme Ghuilemins avait préparé un apéritif sans alcool à l’intention de son invitée qui était de religion musulmane, même si cela ne se voyait pas du tout - ou alors la burqa avait salement rétréci au lavage, pensa Jean-Edouard, toujours très fier de ses bons mots, mais qui regrettait amèrement de n’avoir personne avec qui les partager -.
    
    Les fauteuils qui faisaient face à celui de Samaryl étaient occupés et Jean-Edouard dut se contenter d’un siège sur le côté. D’où il se trouvait, il pouvait reluquer les cuisses de la belle asiatique, mais c’était son père et Marie qui étaient le mieux placés pour voir sa petite culotte sous sa jupe. Marie s’en foutait, bien sûr, mais le père ? S’il était troublé par la vue qui devait s’offrir à lui, il le cachait bien et s’efforçait plutôt de mettre à l’aise la jeune fille en lançant des plaisanteries convenues. Samaryl y répondait par des sourires prolongés qui visaient à cacher à quel point elle était intimidée par cette famille étrangère pourtant sympathique.
    
    Son séjour dans l’Hexagone était supposé lui permettre d’améliorer sa pratique de la langue française. Mais elle disposait déjà d’une certaine connaissance de la syntaxe et de la grammaire, même si elle commettait des erreurs rigolotes qui ajoutaient ...