1. La correspondante asiate de Marie (1)


    Datte: 23/05/2018, Catégories: Hétéro Auteur: marcroomis, Source: Xstory

    ... encore à son charme naturel et achevaient de la rendre totalement irrésistible. Après quelques banalités, elle commença à décrire les études compliquées qu’elle souhaitait entreprendre pour devenir diplomate ou journaliste :
    
    -Et après si bien marcher, moi je faire études à étranger dans grande université internationale. Mais c’est difficile car il y a beaucoup de candidats qui veulent le même chose …
    
    Mais Jean-Edouard ne l’écoutait plus. Il était hypnotisé par ses longues jambes nues et par la façon dont elle frottait ses petons l’un contre l’autre. Taille 35 ou 36, pas plus. Des petits pieds aux ongles courts et limés, dessinés par un créateur ce jour-là très inspiré. Il s’imagina agenouillé devant Samaryl avec pour mission de lui faire essayer paire par paire une collection complète de chaussures très féminines : des escarpins, des bottes de cuir. La délicatesse avec laquelle il manipulait les pieds parfaits de la jeune asiatique ne la laissait pas indifférente. Elle le regardait troublée, les lèvres humides, en écartant légèrement les cuisses, lui offrant ainsi une vue imprenable sur son slip blanc en coton déjà mouillé.
    
    Jean-Edouard sentit son sexe durcir dans son caleçon et croisa les jambes très haut pour dissimuler la protubérance qui déformait son pantalon en toile. Soudain, le jeune homme s’aperçut que Marie le regardait d’un air dégoûté, en secouant doucement la tête en signe de désapprobation. Son frère lui faisait honte avec ses lunettes métalliques ...
    ... carrées et ses fringues démodées de pauvre intello, et quand ce minable faisait semblant de s’intéresser à ses copines, sa détestation à son encontre redoublait de virulence. Elle le fusilla du regard. Jean-Edouard devint écarlate et se dandina sur sa chaise en souriant comme un crétin, au bord du malaise vagal. Avait-elle remarqué qu’il bandait comme un âne ?
    
    *
    
    A compter du jour de son arrivée chez les Ghuilemins, Samaryl devint l’objet de tous les fantasmes du pauvre Jean-Edouard. Le garçon se branlait plusieurs fois par jour en imaginant des scénarios ancrés dans la réalité, mais malheureusement pour lui fort peu probables : Samaryl se laissait peloter puis baiser dans la piscine où elle avait l’habitude de se baigner en string fluo, les seins nus et pleine d’huile … Elle l’allumait à mort au cours d’une soirée en famille arrosée avant de se jeter sur lui dans les toilettes pour le « faire très vite, avant que Marie elle nous cherche » … Elle le rejoignait dans la douche, enduisait son pénis de savon et tendait ses fesses pour se faire sodomiser puisque sa religion l’obligeait à rester vierge et donc à « le faire par là » …
    
    Dès qu’il était seul à la maison, Jean-Edouard se précipitait dans la chambre de Samaryl pour fouiller dans ses slips et ses soutien-gorges. La belle étudiante possédait de très jolis sous-vêtements : des nuisettes, des culottes en dentelles et quelques strings minuscules. Le garçon adorait les toucher, les regarder, les étaler sur le lit et les ...