1. Champagne rosé


    Datte: 27/08/2021, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... ne m'étonnât pas.
    
    Le contraire m'eût étonné. Je pariais que c'était la copine qui avait pris les devants. Ne se contentant d'allumer il lui fallait coucher aussi avec le mec. Olivier devait avoir idée que j'étais du même acabit. C'est à ce moment qu'il fit une pas audacieux. Il me dit : « Autant que vous elle adore bronzée nue auprès de la piscine. » Sans me départir de mon sans froid, je répliquais : « Et votre femme n'y voit rien à redire ? « Il sourit achevant de dire : « Elle est rarement présente à ces moments-là. » Bref je crus devoir conclure en un bref éclat de rire : «Personne ici ne fait de mal ».
    
    Nous en étions au point où nous pouvions tout nous dire et tout faire. Le coquin crut devoir affermir sa position en portant l'estocade. « J'aimerais avant le retour et de ma femme et de votre amie vous inviter à dîner un soir. » Je lui avais laissé entendre que mon mari n'était pas regardant sur mes sorties. Pouvais-je décemment refuser ? Ce type avait sauté ma copine. J’avais le midi fait la putain avec un pompier. Peut-être demain sucerais-je dans mon auto la queue du pote de mon fils. Avais-je droit de faire ici la mijaurée ? Aussi crus-je devoir répondre en écartant ostensiblement mes cuisses.
    
    Je le fixais droit dans les yeux. Sans vergogne il regardait. Il pouvait s'aviser que ma culotte ici était des plus transparentes. Ma chatte ainsi offerte était d'autant plus désirable et obscène. J'avais une envie irrépressible qu'on me baisât comme pour me ...
    ... débarrasser des torpeurs du champagne. Je lui dis sans ambages : « Vous devez bien connaître cette maison ? Je vous propose de m'y conduire » Nous allâmes à la chambre d'amis. J’escomptais prochainement y amener le pote de mon fils. Olivier faisait les choses avec goût. Il sut me faire jouir avec ses doigts et sa langue. Il me savourât.
    
    Journée bien emplie après le pompier du midi. Nous convînmes de réitérer la chose. N'étions-nous pas voisins de circonstance devant nous rendre des politesses ? Il s’avéra que sa femme et ma copine rentraient en même temps. Soit dans dix jours. Je n'en ramenais pas moins comme prévu le copain du fils dans mon lit. De même exerçais-je le tapin sur le Net. A cet égard fus-je un jour approché par un type qui se trouvât être un flic. Il me fit peur en affectant d'être de la mondaine. Il se contentât goguenard à me baiser sans payer m'abjurant pourtant d'être à l'avenir plus prudente.
    
    C'était heureusement sur la fin. J'avais amassé un petit pactole avec lequel je m'offris quelques fringues et de même pour mes gosses et la copine à son retour. Olivier tous ces jours-là venait me rejoindre au bord de la piscine où j'étais nue sans vergogne et que pour lui. Il acceptât lui-même de surmonter sa dernière pudeur pour se dévêtir lui aussi totalement. Je le suçais comme une chienne. Il aimait à me prendre en levrette et à m'enculer m’arrachant quelques gémissements qui pouvaient nous trahir. Il n'avait cure qu'on nous entendit ou nous vit. Je l'avais ...