1. Champagne rosé


    Datte: 27/08/2021, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... ne hais rien tant que des choses imposées. La perspective de cet apéro me pourrit tout mon lendemain. Par jeu je vins à allumer tôt le matin, un type sur un site puis à lui concéder un rendez-vous dans l’endroit du bois et de la rivière que l'autre fois. C'était un pompier trentenaire et assez beau gosse. Je ne fus guère déçue par mon Apollon musclé. Cette fois le véhicule n'était guère climatisé et nous suâmes sans et eau si je puis dire en nos ébats. Il avait la queue grosse et forcenée. J'en eus le cul presque tout démonté. Hilare, mon rustre n'était pas peu fier de son exploit.
    
    Je revins en catimini à mon boulot pour me rafraîchir d’une douche et remettre mon uniforme d'usage. Les collègues étaient loin d’imaginer que je m'étais peu avant prostituée. En effet j’avais exigé du pompier que le coït fut tarifé. La somme avait été assez modique ce qui l'avait décidé. Il m'importait qu'il payât et que cela conféra un caractère assez scandaleux à mon comportement. J'escomptais bien qu'il racontât après à ses collègues qu'il avait eu pour rien, une jolie bourgeoise mariée et qui faisait le tapin à ses heures de bureau. Il refilerait le pseudo où je racolais sur le site.
    
    Mon exploit me consolait de mon échéance du soir. J'en vins presqu'à oublier ce voisin pitoyable. Il m'attendait cet imbécile affectant d'examiner le moteur de son véhicule. Il me dit qu'il finirait avec sa bricole et devrait se laver les mains et qu'ensuite il serait à tout à moi. Je goûtais moyennement ...
    ... cet humour qui se voulait insolent. Je n'escomptais pas lui accorder mes faveurs. Le pompier pour ce jour m'avait suffi amplement. Par ailleurs j'avais reçu le texto d'un ami de mon fils. Celui-ci était devenu un de mes amants récents. Il avait seize ans. On lui en eût donné deux de plus. Il était beau.
    
    Olivier ainsi s’appelait mon charmant papy vint à frapper vers vingt heures. Il avait deux bouteilles en mains dont une de champagne rosé sorti toute fraîche du frigo. A l'étiquette du champagne je vis que le gars ne s'était pas moqué. J’étais sensible à ce genre d'attention. Mon côté pute sans doute. Du reste il adoptât un ton délicat et subtil avec moi. Il évoquât avec tact sa carrière d'industriel. Depuis à la retraite il avait abandonné cela à l'un de ses fils suivant cela de loin. Il parcourait le monde à présent avec sa femme. Encore alerte physiquement il essayait d'en profiter au maximum.
    
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    Le champagne fit son effet. Je fus à cet égard un peu imprudente. Nous étions au bord de la piscine. Mon acrimonie s'était évanouie. J’avais consenti à une robe légère et courte. J'y avais dessous une culotte et les seins nus. Ce cochon devait savoir que Je les avais beaux et lourds. J'avais bien envie de lui demander s'il me trouvait à son goût lorsque j'étais à poil. Sur cette entrefaite il me parla de la copine. Celle-ci était une grande amie de sa femme. Par maintes allusions il me laissa deviner cependant qu'il la goûtait lui aussi. Voire même qu'il l’avait sauté ce qui ...