1. Champagne rosé


    Datte: 27/08/2021, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... généreux me prodigua un beau léchage de seins et cuni. J’étais à point. Je pouvais ne rien lui refuser notamment qu'il m'entrât profond dans le petit trou. Je lui confirmais par la suite que j'aimais qu'on m'enculât. C'était à cet égard me soumettre et m'offrir tout entier au vainqueur de ce jour. Il était endurant, vigoureux. Je bénissais la clim qui permit que nos ébats furent longs, soutenus. Je sortis revigorée de la voiture. Je perçus comme un frémissement dans la broussaille au loin. Quelqu'autre avait du reluquer et se repaître de tout et de mon cul. J’avais fait un heureux.
    
    Je vis mon mari ce soir-là non moins de bonne humeur que moi. J'étais d'avis que ce salaud avait retrouvé l'une de ses maîtresses et s'amusait grandement. Bref il m'interdisait désormais tout scrupule à son égard. J'avais envie tout cet été de me comporter comme une pute. Ainsi j'en vins chez la copine à tout enlever pour me bronzer dans son jardin. Je savais celui-ci relativement à l'abri des regards. Cependant au bruit d'une tondeuse je devinais qu'on put voir un peu de mon côté à travers le troène mais j'ignorais qui pouvait être mon voisin. Je fus bientôt au fait de celui-ci.
    
    En effet en tout début de soirée je fus abordée par un petit papy devant la maison de la copine. L’œil égrillard, celui-ci me dit sans détour : « Pardonnez je suis celui qui vous fait du bruit avec sa tondeuse. » Je fus tentée un instant de m'offusquer et de lui demander s'il s'était bien rincé l’œil mais rien ne ...
    ... prouvait qu'il m'eût maté au travers du troène et de toute façon je m’en foutais. Je lui répondis que je n'étais que de passage et qu'il avait bien droit de rafraîchir sa pelouse. Il eût suite à ce propos une réaction singulière car il jeta comme un coup d’œil indécent vers mon bas-ventre.
    
    J'en vins à deviner toute sa pensée. Le mot pelouse lui évoquait sûrement ma chatte que j'avais cependant lisse car forcément épilée. J'étais convaincu que ce porc n’avait rien raté de ma nudité. J'en voulus avoir le cœur net. Je balançais : « En tout cas j'essaye de ne point trop vous importuner. Je fais farniente au bord de la piscine. C'est une activité somme toute silencieuse. » Je lui tendais en sorte une pêche qu'il saisit avec une désinvolture qui aujourd’hui encore m'épate. Le coquin répondit : « Loin de moi de m'en plaindre. Vous ne faites de mal à personne. Tout au contraire. »
    
    Je n'en avais pas moins envie de remettre à sa place le malotru. Affectant de croire qu'il avait une épouse, je lui disais que je pourrais l'un l'autre un soir les inviter à l'apéro au bord de la piscine. Il eût un sourire carnassier : « Volontiers dit-il mais madame est partie pour toute la semaine chez mon fils à l'autre bout de la France. Je suis seul abandonné mais je veux bien accepter en solo votre invitation ». J’étais en sorte pris à mon propre piège. D'un air maussade, je répondis: « Ben essayons demain soir, même heure. Le goret acceptât. J’étais ferrée et colère d'avoir tant bien rusée.
    
    Je ...
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