1. Fin de la séance de pose


    Datte: 24/08/2021, Catégories: ff, fff, fépilée, douche, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, fdanus, init, Auteur: Sergefra, Source: Revebebe

    ... de ces quelques mots :
    
    Bip.
    
    La photo de Judith s’affiche sur l’écran.
    
    Bip.
    
    — Valérie ! Valérie ?
    — J’arrive !
    
    Laure m’attend debout, une serviette roulée autour du corps,
    
    — Tu as trouvé tout ce que tu voulais ?
    
    Je prends une serviette dans l’armoire et lui tends la main.
    
    — Suis-moi, on a presque fini.
    
    Je la conduis dans la chambre, j’étale la serviette sur le lit. Je défais celle qu’elle s’est enroulée autour du corps et la laisse tomber par terre. Elle est maintenant nue devant moi ; je la détaille de haut en bas avec gourmandise !
    
    — Allonge-toi ; je vais chercher de la crème, je reviens.
    
    Je me rends dans la cuisine ; j’ouvre le frigo, prends mon pot de crème de nuit et l’ouvre.
    
    — Mets-toi au bord du lit.
    
    Je lui écarte les jambes et pose ses pieds à plat sur le lit ; je m’assois sur le parquet, la tête entre ses jambes. Si je n’avais pas donné ma parole à Judith…
    
    Laure est à ma merci, totalement ouverte et impudique !
    
    Je vois maintenant nettement son sexe avec tous ses détails : ses lèvres, grandes et épaisses ; et blotti au-dessus, ne demandant qu’à jaillir, le clitoris bien dessiné.
    
    — Je vais te mettre de la crème pour apaiser le feu du rasoir. Ne sois pas surprise : tu vas sentir le froid, la crème sort du frigo ; mais je vais la faire pénétrer doucement, ça la réchauffera.
    
    Je prends une noisette du doigt et la pose sur son bas-ventre ; je la sens tressaillir. Je fais pénétrer la crème avec de doux mouvements ...
    ... circulaires, jusqu’à la faire disparaître.
    
    Pas un bruit, mais un silence lourd de désirs…
    
    Je prends une deuxième noisette et la pose juste en bas du ventre, au-dessus de son bouton.
    
    Je masse lentement ; je sens par moments comme des ondes électriques parcourir ses jambes, je la sens s’ouvrir, s’alanguir… Ses jambes s’écartent encore ; je vois son bouton gonfler jusqu’à pointer sous son capuchon. Je le touche une à deux fois à dessein ; je la sens se crisper. J’entends un petit cri.
    
    Une troisième noix de crème.
    
    — J’ai bientôt fini.
    
    Je l’entends soupirer ; j’attaque maintenant l’entrejambe. La naissance des cuisses, les lèvres, entre les lèvres, je les pince légèrement. Je sens son souffle s’accélérer ; je fais pénétrer la crème plus que nécessaire, et sens une humidité au bout de mes doigts.
    
    Ah, si je n’avais rien promis à Judith !
    
    — Voilà : c’est fini pour cette partie-là.
    
    Je prends ses jambes et les lui replie sur le ventre, les genoux contre le menton.
    
    — Tiens-les bien serrées contre toi et sors les fesses !
    
    Une quatrième noix de crème, et je m’attaque à la raie jusqu’à son œillet bien crispé. Je fais pénétrer la crème et la première phalange de l’index dans sa corolle. En me relevant, je m’appuie sur elle, et mon index sous mon poids s’enfonce de deux phalanges. Je l’entends étouffer un cri ; je retire lentement mon doigt et me relève complètement.
    
    — Allez, c’est fini.
    
    Je lui claque les fesses pour la pousser à se relever ; je lui tends les ...