1. Fin de la séance de pose


    Datte: 24/08/2021, Catégories: ff, fff, fépilée, douche, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, fdanus, init, Auteur: Sergefra, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent : J’ai rencontré Laure avec son mari au restaurant.Blonde, un brin trop sage : tout ce qu’il faut pour rêver… Elle a accepté de poser pour moi ; je suis arrivée à la mettre nue et lui faire prendre des postures très osées.
    
    Il nous reste une demi-heure ; il va me falloir être efficace si je veux à la fois lui remettre le portrait commandé par son mari et lui faire prendre la pose souhaitée par Judith.
    
    — Je vais d’abord finir ton portrait ; comme ça, ton mari sera content. Et si on a le temps, tu prendras une pose supplémentaire.
    — D’accord.
    — Viens. Assieds-toi sur ce tabouret, là, plus près de moi… Redresse-toi, tends tes seins ! Ne sois pas si crispée… Ouvre tes jambes pour reposer bien droite sur tes pieds.
    
    C’est inouï, sa capacité d’obéissance !
    
    Je dois dessiner son visage, mais mon regard se porte inlassablement vers ses seins qui pointent fièrement et ses fins poils blonds qui défendent joliment l’entrée de son sexe bien ouvert.
    
    Elle ne rougit même pas !
    
    — Regarde-moi bien dans les yeux ! Ouvre ta bouche ; voilà, comme ça. C’est bien ! Attends, il manque quelque chose.
    
    Je me penche pour saisir mon sac à main ; j’en sors mon rouge à lèvres et me rapproche d’elle sur mon tabouret à roulettes. Mes cuisses sont maintenant contre les siennes ; j’en profite pour les ouvrir encore plus : elle est superbe, presque imberbe.
    
    — Pince tes lèvres ; voilà, comme ça.
    
    D’une main, je tiens fermement son menton à vingt ...
    ... centimètres de ma bouche, et de l’autre je passe et repasse le bâton sur ses lèvres, dont je force l’ouverture.
    
    Mes yeux dans les siens, bleus et délicieux :
    
    — Tu as les lèvres très bien dessinées ; une très belle bouche.
    
    Je me baisse à nouveau et saisis mon eye-liner.
    
    — Ferme les yeux.
    
    Je lui souligne les paupières, le menton toujours fermement maintenu dans ma main. Je l’entends respirer un peu vite peut-être, la bouche entrouverte.
    
    Je vois ses belles petites dents blanches et cette langue ; hum, cette langue… Si je ne me retenais pas ! Mais c’est encore un peu tôt.
    
    — Voilà !
    
    Je lui donne une petite tape sur la cuisse où j’abandonne un instant ma main. Je recule et lui fais reprendre la pose. Elle fait un plus canaille, comme ça !
    
    Vite, il faut que je termine : il me reste vingt minutes.
    
    — Ça y est : fini ! Viens voir.
    
    Elle se lève pour venir voir le chevalet ; je me lève aussi et la laisse passer.
    
    Je suis maintenant derrière elle, moi habillée, elle toute nue à l’exception de ses chaussures à talons qui lui cambrent sa croupe. Son chignon dégage sa nuque gracile.
    
    De la main droite, je lui commente le dessin et je pose négligemment la gauche comme pour me tenir le long de son flanc sur le haut de sa fesse. Elle ne bouge pas. Je continue, ma main plus pressante, et me tourne vers elle, ma bouche toute proche de la sienne.
    
    Hum, que j’en ai envie… Je laisse ma main gauche vagabonder sur sa croupe en continuant mes explications. Elle se tourne ...
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