1. Fin de la séance de pose


    Datte: 24/08/2021, Catégories: ff, fff, fépilée, douche, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, fdanus, init, Auteur: Sergefra, Source: Revebebe

    ... droit dans les yeux.
    
    Je sens le temps passer. Dieu, qu’elle est belle ! Des yeux grands, gris et bleu, des pommettes hautes, une jolie bouche bien dessinée.
    
    Elle veut baisser le regard mais je maintiens fermement son regard dans le mien et je m’approche d’elle, si près que je sens son souffle presque sur mes lèvres.
    
    — Tu es très belle, et si tu ne veux pas montrer ce dessin à ton mari, je le garderai : ce sera notre secret à nous.
    
    Je me tourne à nouveau avec elle vers le dessin, ma main gauche toujours fermement accrochée à sa hanche.
    
    — Regarde ces seins : ce sont bien les tiens.
    
    Je suis maintenant vraiment contre elle ; et pendant que ma main droite montre la courbe, la gauche s’en saisit et un malaxe un sein.
    
    — C’est bien cette forme. Ils sont simplement un peu plus arrogants ; mais si je le pince, il va se redresser pareil.
    
    Mon pouce gauche rejoint mon index pour étirer longuement son téton. Je la regarde : elle a baissé les yeux.
    
    — Fais-le-toi sur l’autre, il est tout renfrogné. Allez, vas-y ! Là, tu vois : ils sont pareils. Regarde-moi ; regarde le dessin : qu’est-ce qui te choque encore ?
    
    J’ai toujours son téton entre les doigts et je continue négligemment à le pincer.
    
    — Dis-moi, que trouves-tu choquant ?
    — Mon sexe ouvert…
    — Non ; c’est bien toi, je t’assure ! Sauf ça…
    
    Et je saisis ses jolis poils blonds.
    
    — Mais je n’ai fait qu’anticiper ! Viens ; de toute façon, la séance est finie. On continuera une autre fois. C’est l’heure ...
    ... de la douche avant de partir.
    
    Et je l’entraîne vers la salle de bains. Je prends une serviette, que je pose sur une chaise.
    
    — Assieds-toi !
    
    Je prends dans l’armoire une bombe de mousse et un rasoir ; je m’accroupis devant elle et, avant qu’elle ait pu dire quoi que ce soit, j’ai étalé une noisette et commencé à raser son pubis.
    
    Je la sens tressaillir.
    
    — Ne bouge pas ! Je risque de te couper !
    
    Je la regarde un instant ; elle baisse les yeux, le feu aux joues. Je me concentre sur ma tâche, ce n’est pas dur. Ce que le rasoir me révèle à chaque passage est ravissant !
    
    J’attaque maintenant la partie plus délicate de l’entrecuisse.
    
    — Ouvre-toi plus.
    
    Je saisis une lèvre, puis l’autre ; voilà, c’est à peu près ça.
    
    — Tourne-toi. Cambre-toi ! Voilà : c’est fini ; passe dans la douche.
    
    Je tourne les robinets.
    
    — C’est pas trop chaud ?
    
    Je lui passe le jet entre les cuisses, et d’une main fais disparaître les traces de mousse. Je m’attarde plus que de raison ; je la regarde du coin de l’œil : elle halète un peu, la bouche entrouverte.
    
    — C’est plus joli, hein ?
    
    De la voix, je la force à me regarder tout en continuant de farfouiller plus que nécessaire son entrecuisse.
    
    — Bon, je te laisse finir de te doucher ; appelle-moi quand tu auras fini.
    
    Je retourne dans le salon en suçant mes doigts : un goût de propre, de savon, mais pas que ça…
    
    Le dessin est toujours sur le chevalet. Je le photographie et l’envoie par téléphone à Judith, accompagné ...