1. Nous avons poussé le bouchon un peu loin


    Datte: 23/08/2021, Catégories: fh, couple, caférestau, voyage, collection, amour, Oral jeu, Humour lieuxpubl, Auteur: Rocco si Refroidi, Source: Revebebe

    ... Attends… Tu ne veux pas faire ça ici ?
    — Pourquoi pas ? On est bien dans ce restaurant. En plus, il n’y a plus grand monde qui puisse nous surprendre au fond de notre alcôve. Attends un instant, je vais aller laver ma règle aux toilettes.
    — Pourquoi veux-tu la laver ?
    — Pour pouvoir mesurer ta profondeur ! Je ne t’aurais pas enfoncé ce truc sale dans le vagin, tout de même.
    
    Pendant que je quittai la table, elle m’a lancé en sourdine :
    
    — Malade ! Jouisseur ! Pervers ! Pyromane d’entrejambe !
    
    oooOOOooo
    
    Je suis revenu un instant plus tard, en faisant tournoyer entre mes doigts l’engin rutilant qui allait nous départager. En m’approchant d’elle, je ne suis pas arrivé à maîtriser mon sourire de joie et d’excitation. Heureusement, je n’ai même pas eu à négocier son consentement : elle avait le même sourire que moi. Prenant à cœur son rôle de fausse victime, elle m’a dit en fronçant les sourcils :
    
    — Bon. Passe sous la table s’il te plaît. Mais fait vite !
    
    Je ne lui ai pas fait répéter. J’ai seulement vérifié qu’aucun regard n’était braqué sur nous au moment où je suis passé sous la table. Je me suis alors "confortablement" installé en tailleur, avec la tête qui frottait sous le plateau de bois. Puis j’ai remonté la jupe de Tina et j’ai commencé à la préparer. J’ai entrepris de l’effleurer lentement par-dessus son string avec le plat de mes ongles. Je savais qu’elle adorait ça, ce contact lisse et dur à travers le tissu soyeux, le long de sa fente fermée.
    
    Ça ...
    ... m’a rappelé cette fois où, tout gamin, j’avais chipé un pot de confiture d’abricots à ma mère. J’en avais longuement caressé le couvercle de cellophane brillante avant d’oser braver l’interdit en le crevant du bout des ongles. J’avais alors ronronné de gourmandise coupable en enfonçant mes doigts dans la pâte caramélisée pour me régaler à les sucer en fermant les yeux.
    
    En caressant le triangle de satin brillant qui empaquetait si joliment le sexe de Tina, je rêvais qu’elle était gorgée d’un jus sucré que je boirais après avoir plongé ma règle dans son abricot sirupeux.
    
    Je me suis régalé d’elle en sentant, mais surtout en voyant sa chair tendre résister moelleusement à mes ongles. Ça m’a grisé de penser qu’elle devait ressentir bien plus fort que moi les effets des déformations que j’infligeais à son intimité si attirante. J’ai senti sa chaleur monter vers mes doigts. Plus j’augmentais leur pression, plus son string se gorgeait de sa mouille. Elle était en train de fondre, totalement surexcitée.
    
    Ce n’était pas seulement à cause de moi, mais surtout à cause de la présence des clients dans la salle et de la pression de leurs regards sur elle. Tina s’est sûrement obligée à répondre aux sourires des personnes qui passaient par d’autres sourires : ceux-là même qui étaient provoqués par mes caresses. Ça a fait monter des bouffées de chaleur dans son sexe, à chaque fois que je l’ai pétri comme un pâtissier gourmand de son petit millefeuille. À ses mouvements désordonnés, j’ai ...
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