1. La rencontre


    Datte: 24/01/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, boitenuit, Auteur: Julius Cassiacus, Source: Revebebe

    ... ou trois, pas plus. Au fur et à mesure que je m’habituais à l’obscurité, je distinguais un peu mieux les visages et les corps. Notre arrivée n’était pas passée inaperçue, et semblait être l’objet des commentaires de celles qui étaient entre copines. À un mètre de moi, au bord de la salle obscure, tournée vers la piste où l’on distinguait à peine les couples qui dansaient, se tenait une fille assez grande et qui paraissait plutôt mignonne. Je laissai Jean-Claude et j’allai l’inviter. Elle accepta immédiatement et me suivit sur la piste, où elle se colla immédiatement contre moi. Nous étions de la même taille, et son corps épousait étroitement le mien. Elle m’apprit qu’elle s’appelait Christine, qu’elle avait 22 ans et qu’elle était accompagnée d’une copine qui était restée attablée près du bar. Elle ajouta que la station n’était pas marrante car on n’y rencontrait peu de personnes intéressantes.
    
    — Mais ce soir, je suis là : profites-en !
    
    En disant cela, ma main qui tenait sa taille descendit pour caresser ses fesses, tandis que l’autre empaumait son sein gauche. Sa réaction fut de coller son pubis contre mon bas-ventre et de me masser la nuque. Je n’étais pas si direct d’habitude, mais elle semblait si disponible que j’avais, sans vraiment réfléchir, brûlé les étapes, quitte à provoquer une réaction de retrait qui ne vint pas, au contraire. C’était plus qu’inattendu. Mon expérience de la drague en boîte n’était pas immense, mais je n’avais jamais vu les choses aller ...
    ... aussi vite. Sans me poser de questions, j’entamai un baiser profond. Sa bouche était très chaude et sa langue agile. Mes mains se firent plus insistantes. Son soutien-gorge ne m’empêchait pas de mesurer la fermeté ni le volume de son sein. Enhardi par son approbation muette et par l’obscurité, je commençai par ouvrir son corsage pour retourner le bonnet du soutif vers le bas et pouvoir caresser un sein superbe, haut planté, rebondi à souhait et doux comme de la soie. La pointe, bien que peu développée, s’érigea immédiatement.
    
    De l’autre main je revins vers ses fesses, mais sous la jupe cette fois. Écartant la culotte pour passer mes doigts dans sa raie, je lui titillai délicatement l’anus. Elle continuait à m’embrasser mais ne faisait pas un geste, ni pour me repousser ni pour me rendre mes caresses. J’aurais aimé qu’elle s’intéresse de plus près à mes attributs sexuels, mais sa main gauche ne quittait pas ma nuque tandis que de la droite elle pesait sur mes reins pour me plaquer contre son pubis. Avec tout ça, je commençais à avoir une grosse érection qu’elle ne pouvait ignorer !
    
    Nous étions dans un coin de la piste, ondulant sur place. Autour de nous les autres couples étaient aussi occupés à se peloter sans vergogne.
    
    Après quelques minutes, je la plaquai carrément contre le mur, puis je lâchai ses fesses pour venir caresser son ventre avant de glisser ma main sous l’élastique du slip et de m’emparer de sa chatte. Elle écarta immédiatement les cuisses, et je pus masser ...
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