1. La rencontre


    Datte: 24/01/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, boitenuit, Auteur: Julius Cassiacus, Source: Revebebe

    ... son clitoris avant de faire entrer un doigt entre ses lèvres vaginales. Elle était très humide ; il fut donc facile de l’investir manuellement. Mais ma verge commençait à ne plus tenir dans sa prison de toile. Et elle ne faisait toujours rien pour s’en occuper. J’étais surpris ! D’habitude, un flirt poussé, c’était « la main dans le truc, le truc dans la main ». J’avais bien fait ma part du chemin, mais elle rien ! Du coup, je décidai de poursuivre mon action. Me sentant toujours protégé par l’obscurité, je lâchai son sein pour descendre mon zip, baisser mon slip et sortir ma queue à l’air libre. Écartant sa jupe et sa culotte d’une main, je dirigeai de l’autre ma verge vers l’entrée de son sexe. Elle ouvrit encore plus les cuisses, et mon gland put sans gêne se frotter contre ses grandes lèvres bien lubrifiées. Je commençais à la pénétrer lorsqu’elle se crispa et eut un mouvement de recul. Je crus que j’avais finalement atteint, et même dépassé la limite.
    
    — Qu’est qu’il y a ? Je te fais mal ?
    — Non, non ! C’est ma copine… Elle m’appelle.
    
    Effectivement, j’entendais quelqu’un appeler à mi-voix « Christine ? Christine ? »
    
    — Laisse tomber ! Elle attendra, dis-je au bord de l’explosion, mon gland toujours à demi enfoncé dans sa chatte.
    — Je ne peux pas ! Il faut que j’y aille, dit-elle en cherchant à se dégager.
    
    N’ayant aucun goût pour le viol ou pour la moindre contrainte en matière de sexe, je la laissai s’éloigner. Très frustré, je remis ma verge dans sa prison ...
    ... tandis qu’elle rejoignait la salle du bar. J’avais à peine terminé ma difficile entreprise de réinsertion qu’elle revenait vers moi.
    
    — Attends-moi, je vais reconduire ma copine à l’hôtel et je reviens.
    — Quoi ? Tu… tu ne peux pas l’envoyer paître ?
    — Non, elle veut rentrer ! Elle s’ennuie. Elle n’a trouvé personne pour danser, et elle a peur de rentrer seule.
    — Je peux faire quelque chose ? Tu veux que je la console ?
    — Non, non : elle veut rentrer c’est tout !
    — Ouais, mais tu ne peux pas me laisser comme ça ! C’est pas humain ! T’as vu dans quel état je suis ?
    — Mais je te jure, je reviens ! Le temps de faire l’aller-retour ; j’en ai pour un quart d’heure, vingt minutes maximum.
    — Et moi, je fais quoi pendant ce temps-là ?
    — Bin, tu m’attends.
    — Ça, ma fille, c’est loin d’être garanti ! marmonnai-je.
    — Attends-moi, s’il te plaît, je reviens vite !
    
    Ma conquête disparue, j’examinai la salle de danse. Je n’avais pas l’intention d’en rester là. Autour de moi il y avait encore un tas de femmes qui attendaient qu’on les invite. Et comme je n’étais pas sûr du tout du retour de Christine, il me fallait trouver une autre cavalière. Elle m’avait mis en condition, j’étais chaud. Et, à tort ou à raison, compte tenu de la rapidité de cette première expérience, je m’étais mis dans l’idée de baiser le soir même. Ce genre d’occasion n’étant pas fréquent, il fallait, si c’était possible, en profiter.
    
    Sans être nyctalope, je commençais à mieux voir dans le noir. Très vite, ...
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