1. Tardive rébellion


    Datte: 19/08/2021, Catégories: fh, fagée, frousses, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, vacances, campagne, collection, dispute, miroir, noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, échange, portrait, Humour extraconj, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... je méritais une récompense. Elle s’isola dans la salle de bains avec son grand sac à main en plastique rouge.
    
    Sigrid me fit asseoir sur le lit pour m’accorder une fellation avant de me chausser d’un préservatif. Elle écarta les jambes, se plaça à la verticale de mon membre, le saisit pour le guider dans la petite entrée de service. C’est elle qui géra sa sodomisation, très concentrée, millimètre par millimètre, alternant les petites grimaces avec des sourires pour me rassurer sur la bonne marche des événements. Elle avait dû mettre une tonne de gel de lubrification car mon pénis s’enfilait sans difficulté majeure. Quand elle jugea les préliminaires terminés, elle se mit à quatre pattes sur la moquette et je pus conclure à la hussarde, mais avec délicatesse. On n’est pas des sauvages quand même !
    
    Je revis Sigrid une dizaine de fois, jusqu’aux vacances d’été. Son vieux mari et elle émigraient dans leur résidence secondaire en Ardèche, jusqu’en septembre.
    
    Je croisai Marie et Julien, par hasard, un mois après des adieux dantesques avec la rousse incendiaire. Marie, bronzée et radieuse, revenait de vacances passées avec son mari. Je croyais le couple réconcilié et la révolution conjugale de Marie achevée. Que nenni : Julien repartait sur son chantier turc et Marie prenait le large pour trois mois. Le pauvre Julien avait été mis devant le fait accompli : Marie avait, paraît-il, été détachée par son administration pour encadrer une formation d’opérateurs sur un scanner ...
    ... identique au sien. Julien, bien naïf, se montra ravi de la promotion de son épouse qui partait pour trois mois… à l’hôpital de Meknès.
    
    Épilogue
    
    Je me demandais si Marie allait s’assagir après son aventure marocaine, tout en cueillant les framboises gorgées de soleil dans une parcelle de son jardin. En ce début de septembre, bizarrement caniculaire, les framboisiers remontants pliaient sous les fruits gorgés de soleil. La voisine de leur pavillon m’aidait, car Marie ne voulait absolument pas perdre la récolte. Cette adorable mamie devait transformer les fruits en confiture. Roselyne avouait soixante-quatre ans et ne semblait pourtant pas souffrir de la chaleur d’enfer qui régnait. Elle portait un tablier de travail qui n’était plus de première jeunesse et des savates hors d’âge. Ses cheveux, coupés très courts, étaient teintés quasiment en rouge.
    
    Certes, elle n’avait pas inventé l’eau tiède, mais elle compensait par une gaîté naturelle très communicative. On était aux derniers framboisiers, plus touffus, quand Roselyne sortit son téléphone portable de la poche de son tablier informe pour répondre à un appel. Elle écouta sans rien dire, pour le moins excédée des propos entendus. Quand elle prit la parole, elle vida son sac, la Roselyne :
    
    — Ma chère fille, que tu sois d’accord ou pas, je participerai à la sortie, dans les vignobles Alsaciens, avec le club des anciens ! Depuis la mort de ton père, tu me persécutes en me disant ce que je dois faire ou pas faire, Y EN A ...
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