1. Tardive rébellion


    Datte: 19/08/2021, Catégories: fh, fagée, frousses, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, vacances, campagne, collection, dispute, miroir, noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, échange, portrait, Humour extraconj, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... m’annonça qu’elle ne restait pas, elle avait rendez-vous avec un nouvel ami. Je n’avais pas à être jaloux, juste peut-être un peu vexé. Un médecin marocain, de l’hôpital de Meknès, était venu, pour deux semaines, faire connaissance avec le scanner nouvelle génération de l’hôpital de Marie. Elle y était justement manipulatrice sur cette machine. Il n’était plus très jeune et il était veuf, avec des yeux magnifiques. Marie ne partit pas de suite car elle avait donné rendez-vous, de sa propre initiative, à une de ses meilleures amies de lycée.
    
    L’imprévisible Marie avait manigancé une rencontre entre sa copine et moi, comme pour compenser sa trahison. D’après elle, nous ne pouvions que nous entendre car sa copine, Sigrid, en était à son troisième mari, de quinze ans plus âgé qu’elle, et le bougre n’avait plus de prostate depuis quatre ans.
    
    Sigrid ne passa pas inaperçue quand elle se pointa dans le restaurant. Un chignon de cheveux roux entremêlés, au-dessus de la tête, sur une hauteur de trente centimètres, une robe verte qui se terminait en corolle sous la taille, du genre de celles portées du temps de Salut les Copains, en 1960… des hauts talons rouge pompier assortis aux bas et à sa ceinture kitch en plastique brillant. Une poupée Barbie quinquagénaire, de 1,80 m, en comptant le chignon et les talons hauts.
    
    Les présentations faites, Marie s’éclipsa. Le décolleté généreux de Sigrid dévoilait la naissance du sillon qui séparait des seins lourds, parsemés de tâche de ...
    ... rousseur. Un accord fut vite trouvé, en tous cas pour un essai. Je l’emmenai chez moi après le repas pour le classique dernier verre. Je dus m’arrêter dans un petit chemin de terre pour que Miss Barbie satisfasse un besoin urgent. Quand je lui demandai, à tout hasard, l’autorisation de me rincer l’œil, elle rigola et ajouta que les hommes étaient bien tous pareils ! Sigrid enleva sa petite culotte en satin avant de l’abandonner sur le siège passager. Elle se plaça devant les phares de la voiture, saisit le bas de sa robe et se troussa jusqu’à la ceinture, me fixant avec un regard coquin. Les jambes gainées de rouge étaient bien galbées mais un peu arquées. Elle les écarta légèrement avant de les fléchir. Le minou était invisible dans la touffe de poils hirsutes et frisés d’un roux flamboyant.
    
    Dans ma chambre, Sigrid m’avertit solennellement qu’il était absolument interdit de toucher à son chignon. Mis à part cette contrainte, tout se passa parfaitement bien. Un parfum subtil de chèvrefeuille émanait de sa touffe rousse. Quelques poils roux me chatouillèrent les narines quand la rouquine m’emprisonna la nuque et me demanda d’aller plus vite. Ne sachant ce qui devait aller plus rapidement, j’accélérai la caresse de ma main gauche sur le clitoris, la vitesse de mes coups de langue et le rythme de mon index droit, en visite dans son petit trou. Sigrid devait être vraiment en manque de câlins, car ma bouche fut inondée juste au moment où elle poussa un râle grave.
    
    D’après elle, ...
«12...6789»