1. Tardive rébellion


    Datte: 19/08/2021, Catégories: fh, fagée, frousses, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, vacances, campagne, collection, dispute, miroir, noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, échange, portrait, Humour extraconj, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... verre d’Odile, elle lui expliqua qu’on était très amoureux l’un de l’autre mais que, pour éviter la routine conjugale, on se permettait quelques petites parenthèses de temps en temps avec des couples sympathiques et, si cela les tentait, ma foi… Pascal semblait partant mais Odile, bien que légèrement pompette, beaucoup moins.
    
    Elle m’accompagna dehors pour prendre l’air pendant que je fumais ma petite Gitane filtre d’après repas. Quand on réintégra la salle de restaurant, Marie et Pascal avaient disparu, mais un mot de la main de Marie m’était destiné sur la table :
    
    Odile marqua le coup puis, contre mauvaise fortune… Un peu tendue, elle commença à déboutonner son chemisier. Je l’arrêtai immédiatement, elle allait me gâcher mon fantasme ; c’était à moi de mettre à nu ses seins hors normes. Afin de garder le meilleur pour la fin, je dégrafai la jupe et je m’assis sur le fauteuil de la coiffeuse pour baisser son slip en fin coton blanc, parsemé de gros points rouges.
    
    Une surprise désagréable m’attendait : un minou imberbe, juste une protubérance fendue. Je lui rendis hommage dignement quand même. Semblant ravie de mes préliminaires, Madame osa enfin saisir mon membre dans sa petite main alors que je quittai mes vêtements. Quand le chemisier échoua sur le divan, l’instant privilégié arriva. Je passai derrière ma partenaire pour dégrafer le soutien-gorge. Odile osa prendre une initiative sympathique, elle colla son petit derrière contre mon pénis, tout en frétillant des ...
    ... hanches. J’en profitai pour passer les bras sur les côtés et empoigner les mamelles tant convoitées. Mes mains étaient trop petites pour les englober totalement. Je les pétrissais avant de me remettre face à elle pour m’en goinfrer longuement. L’effet de l’alcool absorbé par Odile provoqua certainement son réveil sensuel. Elle me poussa dans un fauteuil, inclina le buste en agitant ses gros nichons sur ma queue qu’elle emprisonna dans un étau bloqué par ses deux mains fermes. Odile me lécha alors le gland, souriante et ravie de l’effet produit, puis elle s’empala sur mon sexe tendu vers le plafond, tendant ses jambes et les fléchissant lentement pour varier la pénétration de mon pénis. Quand elle se releva à cause d’un début de crampe, je lui fis effectuer un demi-tour et je la pénétrai fougueusement, m’agrippant avec les mains aux mamelles moelleuses, éprises de liberté spatiale.
    
    L’hiver se montra rigoureux et, la période des fêtes écoulée, Marie et moi continuions à nous rencontrer régulièrement. Elle n’avait plus l’angoisse de se montrer nue car, avec le régime qu’elle suivait et les activités sportives qu’elle s’imposait, Marie avait un ventre parfaitement plat, sans la moindre parcelle adipeuse.
    
    Vers la fin mai, une semaine quasi estivale annoncée remit du baume au cœur à tout le monde, les robes d’été sortaient des armoires. Comme tous les vendredis, après le boulot, j’attendais mon amie au « Courte-paille » en sirotant un Campari/crémant. Marie, un peu gênée, ...
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