1. Tardive rébellion


    Datte: 19/08/2021, Catégories: fh, fagée, frousses, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, vacances, campagne, collection, dispute, miroir, noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, échange, portrait, Humour extraconj, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    En cette fin août, sur l’autoroute qui me menait à Reims où m’attendaient Marie et Julien, une publicité, nous invitant à équiper notre salle de bains d’une douche hollywoodienne, me remémora un souvenir assez cocasse.
    
    Les dernières vacances communes, avec mon épouse, avant notre séparation, s’étaient passées avec nos amis, Marie et Julien. Un soir où j’étais de corvée de vaisselle, après une pause cigarette au clair de lune, j’étais remonté. Des ronflements divers émanaient des deux chambres. En entrant dans la salle de bains, je découvris Marie qui m’invita à rester, vu que dans deux minutes elle aurait fini de se démaquiller. Elle manipulait un coton circulaire sur son visage, devant le miroir du lavabo. Ses seins, modestes mais mignons, se reflétaient dans le miroir, animés d’un léger mouvement de balancier. L’arrière de sa petite culotte était en maille fine qui ne cachait rien des deux sphères volumineuses de son arrière-train, ni du sillon sombre les séparant. Comme j’avais un peu picolé, j’ai osé lui avouer que sa croupe somptueuse avait fait l’objet, plusieurs fois, de quelques uns de mes fantasmes nocturnes…
    
    — Tu es certainement mon meilleur copain et je te trouve charmant mais, ta femme est une amie que je ne trahirai jamais et je suis encore amoureuse de mon mari, alors, il faudra continuer à rêver mon grand !
    
    Elle avait alors passé sa chemise de nuit en coton fleuri, s’était débarrassée très pudiquement de sa culotte et me l’avait jetée avec un ...
    ... sourire coquin.
    
    — Pour te faire une petite gâterie en pensant à moi.
    
    Marie et Julien m’accueillirent plus que chaleureusement, sur le parking du concessionnaire Renault de Reims nord. Une durite de leur Scénic avait rendu l’âme sur l’autoroute, à leur retour de vacances espagnoles. Il fallait commander la pièce et le garage promettait une réparation dans les 24 heures. J’étais donc venu à leur secours pour ramener ma copine Marie, car elle avait un rendez-vous médical, chez un spécialiste, le lendemain. Notre couple et eux étions amis et intimes de longue date, on avait sensiblement le même âge, une petite cinquantaine. Même quand mon épouse et moi nous nous étions séparés, l’an dernier, Marie avait continué à nous inviter tous les deux, mais séparément, bien évidemment.
    
    C’était encore l’été en ce début d’après-midi. Chacun des deux, encore en tenue de vacancier, arborait son bronzage Catalan. Les cheveux blonds de ma copine, coiffés avec une raie au milieu et de grandes boucles autour du cou, avaient perdu de leur éclat. Il me sembla que Marie avait un peu grossi. J’en eus confirmation quand elle essuya ses lunettes en soulevant le bas de son débardeur. Un bourrelet disgracieux prenait forme sous le nombril et, visiblement, elle n’avait pas réussi à verrouiller le gros bouton nacré de la ceinture de sa jupette estivale. Elle était encore très loin de friser l’obésité mais, étant courte sur pattes, elle avait intérêt à être vigilante, la copine.
    
    Leur monospace, sièges ...
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