1. Tardive rébellion


    Datte: 19/08/2021, Catégories: fh, fagée, frousses, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, vacances, campagne, collection, dispute, miroir, noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, échange, portrait, Humour extraconj, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... ; Julien se tapait tout, le ménage, le repassage de ses chemises… Elle faisait une bouffe en ville avec ses copines régulièrement, plus le ciné, plus les réunions Weight Watcher et la piscine… Sans oublier les conférences hebdomadaires sur l’histoire de l’Art auxquelles j’assistais aussi, en théorie d’ailleurs…
    
    En fait, je n’y étais jamais allé, à ces conférences. Marie m’avait demandé de lui servir de témoin et d’alibi, au cas son mari se montrerait curieux. À l’heure de la conférence, Marie faisait des galipettes, dans une chambre de motel, avec son grand amour de jeunesse qu’elle avait retrouvé à l’Amicale des anciens des Beaux-arts. Depuis son retour de vacances, Marie et moi nous étions revus régulièrement mais, un jour, comme elle ne voulait rien me cacher, elle m’avait demandé l’autorisation d’interrompre nos relations pour renouer avec son premier grand amour. Ce fut un court essai car, le bellâtre avait changé depuis trente ans, et Marie aussi, bien évidemment.
    
    Après la Toussaint, Marie reprit donc ses intermèdes extraconjugaux avec moi.
    
    Julien ne se rendait absolument pas compte des bouleversements psychologiques qui s’étaient opérés chez son épouse. Inconscient, il se porta volontaire pour le chantier d’une usine en Turquie, avec une belle prime financière à la clef. Deux mois de travail sur place, alternés avec huit jours de vacances à la maison. Marie m’entraîna ainsi dans quelques sorties, dont quelques jours à Bruges où une exposition exceptionnelle ...
    ... réunissait les peintres flamands.
    
    Dans notre pension de famille de Zeebrugge, on fit la connaissance d’un couple normand de jeunes retraités à qui on apprit à décortiquer les petites crevettes grises de la mer du Nord. L’Honfleurais, Pascal, était élégant : blazer bleu avec pochette, chemise blanche et foulard de soie assortie à la pochette. Odile, son épouse, faisait un peu mémé et portait un chemisier classique en satin blanc, recouvert en partie par un châle très coloré, du type de ceux des riches andalouses à la féria de Séville. À la fin du repas, Marie emprunta le superbe châle andalou d’Odile pour l’essayer. Je crus comprendre pourquoi la petite dame aux cheveux bouclés portait cet accessoire vestimentaire, inattendu. Le chemisier d’Odile dévoila une poitrine gigantesque. Des seins énormes, soutenus par un soutien-gorge renforcé dont on apercevait l’armature sous le corsage.
    
    Le lendemain, on passa donc toute la journée au musée, profitant des commentaires éclairés de Marie. Pascal semblait aussi très intéressé par l’arrière-train de ma copine car il y jetait de nombreux regards discrets. Faut dire que Marie portait un jean super moulant, avec les bas du pantalon enfoncé dans de hautes bottes noires à talon. De retour à l’auberge, je lui fis part de l’intérêt que lui portait le normand et, comme elle avait remarqué mon regard libidineux sur les mamelles prometteuses d’Odile, on décida de tenter notre chance auprès des jeunes retraités. Marie ne laissa jamais vide le ...
«12...456...9»