1. Tardive rébellion


    Datte: 19/08/2021, Catégories: fh, fagée, frousses, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, vacances, campagne, collection, dispute, miroir, noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, échange, portrait, Humour extraconj, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... tenait tant, je rappelai à Marie que son mari tenait impérativement à ce qu’ils soient arrosés avant la nuit. Elle arriva sur la terrasse, se débarrassa de son seul vêtement, son slip, elle s’installa à la verticale du premier pot, fléchit légèrement les jambes et sa touffe blondinette laissa échapper un jet dru et puissant. Se déplaçant, astucieusement, l’imprévisible Marie arriva à répartir son gros pipi sur toutes les pauvres plantes innocentes.
    
    Le vomissement laborieux d’une cafetière électrique entartrée mit fin à une nuit réparatrice, au petit matin. Marie installait ses confitures maison, des bols et de la brioche décongelée.
    
    — J’ai été bien conne de sacrifier ma vie à ce mec, je me demande encore ce qui a bien pu me plaire en lui ? J’ai arrêté de fréquenter des tas de personnes parce que Monsieur ne les supportait pas… J’ai rompu tout contact avec mes copains et copines des beaux-arts parce que Monsieur les trouvait marginaux et provocateurs… Il y a bien dix ans que je n’ai plus assisté à une pièce de théâtre ou un spectacle musical… Je suis devenue la bobonne de mon Seigneur et Maître, le ménage, la bouffe, voilà mon univers ! Quel gâchis… Je peux te dire que Marie va reprendre les choses en mains dès aujourd’hui et que le Julien n’a surtout pas intérêt à la ramener !
    
    Connaissant le caractère entier et vindicatif de Marie, j’étais persuadé que ce n’était pas du tout des paroles en l’air ! Pauvre Julien !
    
    Je venais juste de m’étirer, sortant du divan, ...
    ... quand ma copine se débarrassa de sa chemise de nuit en coton. Elle trempa deux doigts dans un pot de gelée de framboises. Très méticuleusement, Marie, un sourire jovial aux lèvres, se lubrifia son petit trou du cul, deux fois, consécutivement.
    
    — Que la fête commence, mon cher Pierre, je n’ai jamais fait ça mais je veux que tu utilises l’entrée de service, juste pour donner le départ officiel de ma nouvelle vie et tu n’as absolument pas le droit de refuser !
    
    Marie me coiffa de mon chapeau noir de berger savoyard qui traînait sur le divan, car elle trouvait qu’il m’allait bien. Dans la chambre, elle se mit à quatre pattes sur la moquette, face à un miroir fixé au mur, dans le sens de la hauteur. Mon reflet, en train de chevaucher ma copine, un chapeau sur la tête me fit honte. Quand Marie commença à grimacer dès que trois ou quatre centimètres de mon pénis la pénétrèrent, courageuse, elle insista pour que je persévère mais, d’un commun accord, on abandonna peu de temps après. L’orifice était trop étroit et refusait toute dilatation. Par mesure d’hygiène, j’enlevai le préservatif et une fougueuse levrette, à la hussarde, mit un terme à nos galipettes matinales.
    
    Quand, quelques semaines après, je rencontrai Julien poussant un caddy dans Auchan, il avait triste mine. Complètement dépassé par les événements et résigné, il m’expliqua ses malheurs : il faisait les courses sinon il n’aurait rien à se faire à manger de la semaine. Marie n’était pratiquement plus jamais à la maison ...
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