1. L'amour peut faire mal


    Datte: 16/08/2021, Catégories: hh, hplusag, hagé, frousses, rousseurs, grossexe, hépilé, complexe, ascenseur, amour, hsoumis, humilié(e), vengeance, contrainte, dispute, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral préservati, coprolalie, hsodo, uro, confession, Auteur: M. Gentil, Source: Revebebe

    ... faire pipi dans la rue. S’il te plaît, promis je ne te saute pas dessus. Je serai sage. Je ferai rien. Je ne te toucherai pas.
    
    Il ouvrit la porte de l’immeuble. À peine les boîtes aux lettres franchies, il m’attira à lui à nouveau. Il me tint face à lui, il me dévisagea, je souris. Cette fois, c’est moi qui initiai le baiser, un baiser langoureux. Comme j’aimais le goût de sa salive. Comme nos langues se trouvaient parfaitement. Comme sa langue emplissait ma bouche ! Ses lèvres épaisses, sa grosse langue, sa large bouche qui semblait pouvoir m’engloutir. J’empoignais ses fesses de mes mains pour coller nos deux sexes l’un contre l’autre quand il me repoussa :
    
    — Arrête, pas ici. Pas dans les escaliers.
    
    Je répondis :
    
    — Je m’en fous, on ne fait rien de mal non ?
    
    Il me coupa :
    
    — Moi ça me gêne. Les voisins.
    
    J’acquiesçai :
    
    — OK.
    
    On monta les étages en se cherchant de nos mains. Les marches filaient. Je me souvenais de l’odeur familière des gros tapis de cet immeuble ancien. Puis arrivés chez lui, l’odeur chaude d’une fin de chandelle mais la froideur à nouveau :
    
    — Allez mon petit, va pisser. T’es venu pour ça.
    
    J’allais au bout du couloir, dans les toilettes. Je laissais la porte ouverte, « sait-on jamais » ? Je baissai ma braguette quand il apparut :
    
    — J’ai envie de pisser moi aussi, laisse-moi une place, je suis chez moi après tout !
    
    Sa voix était sèche, mais moins dure que quand il m’avait repoussé dans la rue.
    
    Je déboutonnai mon ...
    ... pantalon, il déboutonna le sien, et nos deux sexes furent au-dehors, têtes baissées dans la crue lumière des toilettes, immobiles au-dessus de la faïence, mon petit sexe au-dessus de mon élastique, son gros sexe émergeant des boutons de son jeans. Nos respirations devinrent plus bruyantes. Le temps soudain plus plastique ralentit sa course à la mesure de sa respiration.
    
    Je regardais son gros sexe épilé dépassant de son jeans. Si mat, si gros, si beau. Un sceptre. Mon petit sexe rose semblait ridicule à côté de sa belle livre de chair veinée. J’étais en jogging, il était en jeans. J’étais en baskets d’un modèle et d’un exemplaire en bout de course, il était en chaussure de ville sympas, en cuir et rutilantes. Nous commençâmes à uriner en même temps. D’autorité, il rapprocha son sexe du mien et nos jets se croisèrent, se cassant, se mêlant. Lui forçait visiblement pour casser mon jet d’urine et du coup, il approcha sa verge de la mienne. Loin de m’écarter, j’approchais subrepticement ma « petite anguille » de sa verge majestueuse en guise d’acquiescement, d’invitation.
    
    Il articula, un peu plus difficilement, d’une voix un peu plus douce, fendant l’armure :
    
    — Je trouve ça beau quand deux mecs pissent côte à côte, que les jets se croisent comme ça.
    
    Je ne répondis rien mais doucement ma main droite glissa vers la belle queue d’Éric, qui achevait d’uriner, pour la saisir délicatement et entamer un va-et-vient décidé. Je retrouvais le contact merveilleux de la chaude chaussette ...
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