1. L'amour peut faire mal


    Datte: 16/08/2021, Catégories: hh, hplusag, hagé, frousses, rousseurs, grossexe, hépilé, complexe, ascenseur, amour, hsoumis, humilié(e), vengeance, contrainte, dispute, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral préservati, coprolalie, hsodo, uro, confession, Auteur: M. Gentil, Source: Revebebe

    Résumé épisode 2 :
    
    Attiré par une annonce de vente d’antiquités sur « Le Bon Coin », je suis attiré par l’homme qui me reçoit.
    
    Mois de janvier.
    
    Un soir froid était tombé sur Paris. Je sortais d’un bar. Je venais de quitter un groupe d’amis et je marchais seul dans la lumière jaunâtre des lampadaires parisiens.
    
    Sans me presser, je marchais vers le métro Faidherbe-Chaligny. Dans les lumières sales de la ville dansaient, tournoyantes, des particules d’eau irisées. L’eau brillait un peu partout. C’était joli. Mais moi, j’avais froid. Et je ne savais plus trop comment occuper le reste de la nuit sans charme qui semblait commencer.
    
    Il était exactement 22 h 22. Je le sais car je regardais compulsivement l’écran taché de perles froides de mon téléphone portable, la tête enfoncée dans la capuche de mon manteau, les mèches de mes cheveux déjà humides après les quelques pas tracés dehors. Je rechargeais Facebook, Twitter, WhatsApp sans m’arrêter. Pas de message. Rien d’intéressant à lire. Personne ne semblait penser à moi, nulle part.
    
    Le vide.
    
    J’avais froid, tout me fatiguait mais je n’avais pas envie de rentrer. Je n’avais pas non plus envie de sortir « vraiment», à savoir, aller m’agiter en boîte, enchaîner avec un autre bar, ou aller me faire éclater en sauna par un mâle inconnu.
    
    Faidherbe-Chaligny. En passant près d’un bar punk,Le Hula-Hoop, je repensai à un amant occasionnel qui habitait dans le coin. Éric, un homme rencontré deux ans plus tôt, une ...
    ... amourette à éclipses, interrompue quelques mois auparavant qui paraissaient des années maintenant. Je ralentissais mes pas, furetais du regard dans les façades.
    
    Éric. La chaleur montait en moi. Il était peut-être chez lui, seul, devant la télé à s’ennuyer et disponible pour se coller à moi, peut-être ? Éric était timide mais c’était le feu sous la cendre. On s’était rencontrés dans un bar du Marais l’année d’avant ; un type adorable, attentif, plein de tendresse : quarante-cinq, travaillant dans la mode, épilé, grand, assez musclé, légèrement hâlé par de réguliers voyages en Tunisie, en Italie et au Cambodge, des cheveux blonds courts et bouclés et de très beaux yeux azur. Il était tendre, extrêmement attentif et doté d’un très gros sexe, large, épais, assez long, qui rien qu’au repos affichait déjà bien les treize, quatorze centimètres. Une belle livre de chair très bien dessinée. Un chorizo souple et épaissi en sa fin par un gros gland imposant. Une andouillette, qui avec un peu d’attention, se transformait rapidement en un gourdin raide, dur, renflé au gland comme un casse-tête tribal du Pacifique. Un majestueux pilon que l’on sentait dur, un os tendu sous une chaussette de chair épaisse, qui glissait, coulissait sur lui.
    
    Éric. Une bite incroyable. J’aimais relever son long et épais prépuce, jouer avec et en le relevant découvrir le gland mi-rose mi-violacé, bombé, qu’il cachait. Un bon gros gland, beau comme une figue, brillant, perlant toujours un peu, humide. Une ...
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