1. L'amour peut faire mal


    Datte: 16/08/2021, Catégories: hh, hplusag, hagé, frousses, rousseurs, grossexe, hépilé, complexe, ascenseur, amour, hsoumis, humilié(e), vengeance, contrainte, dispute, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral préservati, coprolalie, hsodo, uro, confession, Auteur: M. Gentil, Source: Revebebe

    ... de chair et le corps de sa verge encore mou mais toujours résistant au-dessous. Le long prépuce qui glissait, épais, sur le noyau dur de plaisir. Éric retira sa main de sa verge pour me laisser entièrement libre de le saisir, libre de diriger son sexe offert à ma menotte, libre de pouvoir doucement branler son membre en entier si je le voulais, tendrement, chastement, encore un peu interdit par son agressivité latente que je comprenais tout à fait maintenant. J’étais au guidon de sa belle tige d’où tombaient encore quelques gouttes dorées. Lentement, je dégageais son gland, puis l’encapuchonnais à nouveau. Déjà son méat urinaire s’ornait d’une perle de liquide séminal. Après quelques mouvements attentifs de calottage-décalottage de son épais et long prépuce, son gland brillait comme un gros têtard humide.
    
    De son côté, Éric avait saisi ma verge pâle entre trois de ses doigts et malgré quelques poils coincés dans mon prépuce qui gênaient un peu, il me décalotta complètement. Il contempla ma queue et démarra un va-et-vient lascif, attentif. Dans ma main droite sa verge s’épaississait. Nos respirations, paroles muettes éloquentes de ce moment suspendu, accompagnaient nos va-et-vient mutuels de plus en plus assurés.
    
    Je regardais Éric, ses yeux étaient clos. Dans ma main, je sentais avec délice sa verge se gonfler. Pour être plus libre de mes mouvements et me concentrer sur son plaisir, je repoussais alors doucement son corps contre le mur. De ma main gauche, je saisis la ...
    ... base de son sexe, empoignant la base de sa verge et ses couilles gonflées entre mon pouce et mon index formant comme un « cockring » et de la main droite, je le branlais, d’abord debout, puis à genoux.
    
    Sa voix revint, émergente :
    
    — Hum, c’est bon, j’aime tellement quand tu me branles, quand tu m’astiques. Hum ! T’es doué. T’as toujours été doué. Tu places tes mains parfaitement.
    
    Je répondis d’un doux « Merci ».
    
    Il m’intima l’étape suivante d’une voix coupée mais de nouveau sèche, un ordre :
    
    — Suce-moi. Tu vas me sucer. Je vais te posséder la bouche.
    
    C’était prévu. Je me mis complètement à genoux et j’engloutis son gland, puis rapidement j’enfilai sa hampe complète dans ma gorge.
    
    Il éructait, tête en arrière, transi de plaisir :
    
    — Salaud ! C’est si bon ! Où t’as appris ça, mon bébé ? D’où tu connais tout ça ? Pourquoi tu suces si bien ? Où t’as appris ça ? T’en suces beaucoup des mecs ?
    
    Je connaissais mon rôle, je ne répondis rien. Je continuai à littéralement le branler de ma gorge. Il allait loin. Au bout d’un moment, des gorgées acides remontèrent de mon estomac mais rien à foutre, je crachais dans le calice de la faïence la bile amère et je reprenais mon ouvrage. Éric soufflait, gémissait :
    
    — Je vais jouir, putain. Je ne veux pas jouir comme ça.
    
    Je retirai ma bouche. Mes genoux sur le carrelage froid et la bite coincée dans mon jogging mal remonté, mon cul à moitié à l’air, le crâne un peu lourd — sans doute l’alcool faisait-il maintenant son ...
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