1. Résonance primitive - 2


    Datte: 04/08/2021, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, humilié(e), fsodo, Humour Auteur: Lokz, Source: Revebebe

    ... ondule, cherche à se dérober, mais n’y parvient pas. Alors, elle contracte son vagin autour de ma queue, et je l’entends râler.
    
    — Tu voudrais que je te baise, petite chienne ? T’as la chatte juteuse.
    
    Je sors, glisse dans sa raie, puis replonge dans sa chatte. J’ai son odeur intime maintenant. Trop de complaisance dans son attitude, je lui attrape les cheveux et la tire en arrière.
    
    — J’ai dit, ta bouche d’abord ! Je veux t’entendre baver.
    
    La tirant par les cheveux, je la descends à mes pieds, et m’introduis dans sa bouche devenue chatte. Ma queue pleine de cyprine s’aventure sans résistance jusque dans sa gorge. Quelle vision folle que cette bouche outragée ! Grotesque, avec son rouge à lèvres qui s’étale jusqu’à ses joues et sous son nez. Les sourcils froncés et les yeux plissés, je la sens souffler dans mes poils, et la libère. Mais, ma bite a le goût de sa chatte, et elle tend la langue, réclame encore. Je lui refuse.
    
    — Pose ta nuque sur le bord du canapé. Je vais baiser ta petite bouche de pute.
    
    Pas le temps de finir ma phrase, qu’elle est déjà en position. J’ai vraiment du mal à la dépasser ce soir. Sa tête entre mes jambes, j’y vais de bon cœur. Ne plus voir ses yeux calme mon excitation alors j’accélère. Quand elle tousse, je sors ma queue pour qu’elle crache le trop-plein de salive, qui coule sur son menton, sur ses seins, et sur son ventre. Son visage et son cou ont changé de couleur. Rouge tranchant, sur sa peau blanche. Ses yeux humides ont lâché ...
    ... quelques larmes chargées de mascara. En quelques minutes, elle a perdu de sa prestance.
    
    — Démasquée ! Suceuse de bites.
    
    Puis, je l’allonge sur le canapé et colle ma bouche sur sa chatte. Juteuse, je gémis à son contact. De sa mouille, j’en ai du menton jusqu’au nez. Je me délecte comme untox trop longtemps sevré. Tout en la léchant et la pénétrant de ma langue, je me branle à quatre pattes sur le tapis, asservie entre ses jambes. Pas de réflexion, que de l’émotion rythmée de pulsions.
    
    Je me relève, et lui présente ma bouche gluante. Nous nous embrassons, échangeant nos saveurs. C’est limite si elle mord. Elle va jusqu’à sucer mon bouc pour récupérer son jus et m’enfonce sa langue, me fouille, comme je l’ai fait dans son vagin. Ma queue glisse sur sa chatte, et je la sens onduler sous moi. Encore quelques secondes et nos sexes sont alignés, et il me suffit d’un coup de reins pour la traverser. Elle se cabre et m’enserre de ses bras fermement, très fermement. Soudé à elle, son souffle dans mon oreille est une divine torture.
    
    Notre scénario de départ tombe à l’eau, nous n’avons plus de contrôle. Je sens ses ongles sur mon dos qui tracent leur sillon. Ses jambes s’ouvrent au maximum pour me permettre de mieux la défoncer. Nous nous faisons face, les yeux dans les yeux. Sa bouche sent la bite et la chatte, je la respire et je la lèche.
    
    Notre baise devient bruyante, entre nos gémissements et les grincements du canapé. Et puis ma rouquine s’exprime.
    
    — Vas-y ! Oui ! ...
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