Résonance primitive - 2
Datte: 04/08/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
fsoumise,
humilié(e),
fsodo,
Humour
Auteur: Lokz, Source: Revebebe
... Des bas noirs autofixants tranchent sur sa peau de rouquine, et ses converses orange répondent à ses cheveux. Une parfaite faute de goût juvénile, comme un défi.
Elle me rappelle ainsi son âge, et le mien par extension. Elle a vingt-cinq ans, et moi, plus de quarante. Évidemment, je la trouve belle physiquement, avec sa petite poitrine et ses seins prétentieux. Ses jambes sont fines et délicieusement dessinées. Ses bras juste galbés. Son visage pourrait être celui d’un ange aux traits délicats mélangeant un peu des deux genres, mais je ne m’y trompe pas. Quelque chose rode dans son regard noisette. Quelque chose à l’affût, prêt à bondir. Un prédateur qu’il ne faut pas perdre de vue un seul instant.
Elle me traque, et pour lui échapper je baisse les yeux et me fixe, aimanté sur sa chatte. Que de pouvoir sur moi dans cette chatte. Je suis dans ses griffes, et elle est fière de son coup, ça crève les yeux. Sur son visage, je vois sa folie contagieuse, mais c’est sa bouche qui trahit son appétit. Elle a faim, faim de vice, bien plus que de chair. Alors, pendant un instant seulement, devant cette sauvagerie à fleur de peau, je me sens comme un enfant qui a peur d’être croqué. J’en frissonne.
Elle inverse les rôles ? Je m’avance alors vers elle, laissant tomber mes gants, mon écharpe et mon blouson derrière moi. Une fois à portée, je pose mon genou contre sa chatte et la saisit à la gorge. Je m’approche de son oreille et dans un souffle, lui lâche :
— Petite putain ...
... !
Un murmure tiède qui la fait frémir. Ma bouche toujours à portée, je lâche sa gorge pour son intimité, déjà poisseuse. J’enfonce, profond, deux doigts avec facilité, et lui fait goûter sa mouille dont elle se délecte sans retenue. Je lui barbouille la bouche qu’elle me donne à nourrir, et l’entends gémir d’extase. Elle me rend dingue d’être prête à tout.
— Je vais baiser ta bouche !
Je la lâche et me redresse pour me désaper. Pendant ce temps, elle descend du canapé et se pose à genoux, face à moi, bouche ouverte et langue tendue. Docile, beaucoup trop docile, je contre.
— Avant, je vais baiser ta chatte, deux ou trois coups, histoire de me graisser la queue.
Elle se tourne et m’offre son cul.
— Sur le canapé, petite conne, j’ai pas envie de me baisser !
Elle s’exécute. J’admire sa position. Son cul est magnifique, tout en harmonie de courbes et de contre-courbes. Sa peau blanche est traversée de chair rose et luisante. J’attrape ma queue et m’astique un peu.
— Qu’est-ce que tu es ?
— Une chienne, une chienne en chaleur.
Sa réponse d’une profonde conviction est comme une pénétration. Je lui caresse l’entrejambe, les doigts immisçant, et lui étale sa mouille jusque sur l’anus, réactif. Puis, quand elle est à mon goût, je m’enfonce dans son vagin d’une longue poussée, et la sens tressaillir. Je reste au fond, accroché fermement à ses hanches, la bouche grande ouverte, je la bloque. J’ai failli me faire surprendre moi-même, jouir en un coup. Elle ...