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La mère et ses deux filles. (2)
Datte: 29/07/2021, Catégories: Hétéro Auteur: zebre222, Source: Xstory
... gros zobs comme les miens qui lui remplissent la chatte ! Qui la pénètrent profondément et qui lui font mal ! Qu’elle aimait s’empaler sur eux ! Qu’elle était une vraie putain ! Tous ces mots étaient prononcés avec une voix saccadée, dans un souffle de plus en plus court ; jusqu’à la délivrance finale qui vint sous la forme d’un long râle de jouissance qui dura une éternité. Elle se laissa tomber sur ma poitrine tout en gardant mon sexe encore bandant dans son vagin. Elle s’aperçut que je n’avais pas encore joui. Elle m’embrasse comme pour me demander pardon, se mit à quatre pattes sur le lit, la tête enfoncée dans un oreiller et me demanda de la prendre à la levrette pour pouvoir décharger. L’invite était trop belle pour que je n’en profite pas. Je me mis donc derrière elle, et sans précaution aucune je lui enfonçai mon membre dans sa chatte jusqu’au fond. Je le ressortis totalement et le lui enfonçai une deuxième fois tout aussi brutalement. Cela eut pour résultat de réveiller ses sens endormis par les orgasmes successifs qu’elle avait eus et se remit à gémir et à crier de la baiser ...
... comme une chienne, de lui faire mal et de l’inonder de mon sperme. Je me rendis compte que mes coups de boutoir lui faisaient mal et qu’elle aimait cela. Je redoublais d’ardeur, de plus en plus excité par ses cris et ses râles, jusqu’au moment où n’y tenant plus j’explosai dans son vagin la noyant d’un sperme qui, certes avait perdu de son épaisseur, mais restait encore abondant. Elle jouit en même temps que moi, mêlant le liquide qu’elle avait déchargé en abondance au sperme dont je venais de remplir son vagin. Exténués, nous sommes restés accrochés l’un à l’autre un long moment. Elle me prit dans ses bras, m’embrassa longuement avec beaucoup de tendresse et me demanda de partir avant que ses filles et son mari ne reviennent. Je lui demandai si on allait se revoir ; elle me sourit pour me dire bien sûr. Elle était d’accord, me dit-elle, pour me partager avec sa grande fille. — A nous deux, nous allons te construire un véritable nid d’amour ! Elle ne crut pas si bien dire. Mais au lieu de deux, elles finirent par être trois à partager ce nid d’amour: Dalila, Fahima et Feriel.